Bientôt dans votre ville, vous pourrez vivre l'élection de Mister Black en direct...
Dans un lieu idéal, pour ce genre d'événement... Mesdames, Mesdemoiselles, et Messieurs préparez vous, pour un instant unique à Lyon...
Si dans votre entourage vous avez des personnes susceptible de répondre aux critères pour être élus le plus beau Black, surtout n'hésitez pas et dites lui de contacter le > 06.87.88.54.72 ou le > 07.77.91.55.26...
En attendant le jour J je vous souhaite à tous et à toutes de bonnes choses...
lundi 28 février 2011
dimanche 27 février 2011
[CONFERENCE] Journée Internationale de la Femme le Miverval vous invite le 7 mars à Lyon
A l'occasion de la "Journée Internationale de la Femme, l'Association "MIFERVAL" a le plaisir de vous inviter à une conférence-débat le lundi 7 mars 2011 à 19 h à la Mairie du 9ème Arrdt.
Les thèmes sont axés sur :
- les témoignages et échanges sur les femmes en politique
- l'entreprenariat féminin et la réussite en quartier sensible
Mme Rosalie GUEYE
Présidente du MIFERVAL
Les thèmes sont axés sur :
- les témoignages et échanges sur les femmes en politique
- l'entreprenariat féminin et la réussite en quartier sensible
Mme Rosalie GUEYE
Présidente du MIFERVAL
[REFLEXION] Galliano sanctionné mais toujours pas Zemmour (P. Lozès)
L’antisémitisme et le racisme sont deux idéologies nauséabondes. L’antisémitisme et le racisme ne sont pas des opinions mais des délits.
Je salue la décision de Dior.
Je note que la célérité avec laquelle cette décision de suspension a été prise par Dior, contraste avec la réaction de LVMH dans l'affaire Guerlain et même avec la lenteur de LVMH a tenir, dans la même affaire, ses engagements en matière de lutte contre le racisme et les discriminations.
Dans ces conditions, un tel empressement interroge…
Je rappelle aussi que le polémiste Eric Zemmour a été condamné vendredi 18 février 2011 par le TGI de Paris pour "provocation à la discrimination raciale"
La suspension de M. Galliano met les employeurs, d’Eric Zemmour : France 2, Le Figaro, RTL, et ITélé devant leurs responsabilités s’ils ne tirent pas toutes les conséquences de sa condamnation.
La liberté d’expression qui est une des valeurs cardinales de la République ne saurait servir d’alibi au racisme et à l’antisémitisme.
Le couturier britannique de la maison Dior (Groupe LVMH), John Galliano, interpellé hier soir, parce qu’il aurait, proféré des injures à caractère antisémite et raciste a été suspendu de ses fonctions par Dior son employeur en attendant la fin de l’enquête en cours.
Monsieur Galliano dément les accusations d’antisémitisme qui lui sont imputées.
Pour ce qui la concerne, la Maison Dior affirme « avec la plus grande fermeté sa politique de tolérance zéro à l'égard de tout propos ou attitude antisémite ou raciste»
Je salue la décision de Dior.Je note que la célérité avec laquelle cette décision de suspension a été prise par Dior, contraste avec la réaction de LVMH dans l'affaire Guerlain et même avec la lenteur de LVMH a tenir, dans la même affaire, ses engagements en matière de lutte contre le racisme et les discriminations.
Dans ces conditions, un tel empressement interroge…
Je rappelle aussi que le polémiste Eric Zemmour a été condamné vendredi 18 février 2011 par le TGI de Paris pour "provocation à la discrimination raciale"
La suspension de M. Galliano met les employeurs, d’Eric Zemmour : France 2, Le Figaro, RTL, et ITélé devant leurs responsabilités s’ils ne tirent pas toutes les conséquences de sa condamnation.
La liberté d’expression qui est une des valeurs cardinales de la République ne saurait servir d’alibi au racisme et à l’antisémitisme.
[COTE D'IVOIRE] "Quand la dictature s'installe, la révolution s'impose" P. Kanté et H. Ouattara (RHDLP Loire)
A l’approche des présidentielles françaises et dans le cadre de sa politique relationnelle, Mr Arnaud Montebourg, Député et Président du Conseil Général de Saône et Loire, candidat aux prochaines élections présidentielles françaises, et les députés de la Loire viennent encore une fois de réaffirmer leurs soutiens à la quête de la démocratie et de ses valeurs ; et aussi aux autorités légitimes et démocratiquement élues de cote d’ivoire à préciser le Président Alassane Dramane OUATTARA.
Ainsi lors de sa visite de soutien aux candidatures socialistes aux cantonales 2011 dans la Loire le vendredi 18 février, Mr Arnaud Montebourg en a profité pour rencontrer pour la deuxième fois la délégation du RHDP de la Loire conduite par son président Patrice Kanté KOFFI, accompagné de son secrétaire général : Ouattara Hamidou, ses nouveaux secrétaires à l’organisation, et à la communication : Mr Jean Armand NDRI et Mr Landry Dedjay TEHEO.
A travers un exposé clair, ce brillant orateur a employé les justes mots pour réitérer son soutien à une solution pacifique, juste et démocratique en cote d’ivoire.
« Aujourd’hui le Président Laurent Gbagbo engage sa responsabilité devant le peuple ivoirien et l’ensemble de la communauté internationale. Il lui revient de respecter le choix des Ivoiriens en acceptant l’incontestable verdict des urnes et en cédant pacifiquement le pouvoir ».
« C’est la marche du continent africain vers la démocratie qui est aujourd’hui en jeu » a-t-il ajouté.
Pour sa part, le Président Patrice Kanté KOFFI, a insisté sur le devoir et la responsabilité de l’Internationale Socialiste à exercer la juste et nécessaire pression pour que le parti de Laurent Gbagbo (si tant est le fait qu’il soit toujours socialiste) accepte une transition démocratique pacifiée pour l’unité nationale de la Cote d’Ivoire.
« Alassane Ouattara a été désigné vainqueur de la présidentielle par la commission électorale indépendante donc par le peuple ivoirien dans sa majorité ; nous pensons et croyons fermement qu’il regagnera son fauteuil présidentiel peu de temps après le passage des cinq chefs d’Etat qui constituent le panel des futurs négociations ».
Il est important de noter que l’attitude partisane de notre armée, qui est tout sauf nationale, corse la situation sociopolitique actuelle. En effet, une armée nationale se doit d’être impartiale tout en défendant le peuple qui est le seul et véritable intérêt supérieur qui prévaut à la Nation. Cela s’est récemment vérifié en Tunisie et en Egypte… Une armée à la solde d’un individu n’en n’est pas une : c’est une milice.
Sous des régimes plus autoritaires et répressifs que le nôtre, le peuple a droit à la marche revendicative et protestataire qui est un droit universel. Que chez nous ce droit soit dénié, muselé, réprimé, embrigadé est la preuve que nous vivons actuellement une dictature.
Et quand la dictature s’installe, la révolution s’impose.
Le Président de la délégation RHDP de la Loire
Patrice Kanté KOFFI
Le Secrétaire générale
Ouattara Hamidou
Sources : le chargé de la communication
Landry Dedjay TEHEO
Ainsi lors de sa visite de soutien aux candidatures socialistes aux cantonales 2011 dans la Loire le vendredi 18 février, Mr Arnaud Montebourg en a profité pour rencontrer pour la deuxième fois la délégation du RHDP de la Loire conduite par son président Patrice Kanté KOFFI, accompagné de son secrétaire général : Ouattara Hamidou, ses nouveaux secrétaires à l’organisation, et à la communication : Mr Jean Armand NDRI et Mr Landry Dedjay TEHEO.
A travers un exposé clair, ce brillant orateur a employé les justes mots pour réitérer son soutien à une solution pacifique, juste et démocratique en cote d’ivoire.
« Aujourd’hui le Président Laurent Gbagbo engage sa responsabilité devant le peuple ivoirien et l’ensemble de la communauté internationale. Il lui revient de respecter le choix des Ivoiriens en acceptant l’incontestable verdict des urnes et en cédant pacifiquement le pouvoir ».
« C’est la marche du continent africain vers la démocratie qui est aujourd’hui en jeu » a-t-il ajouté.
Pour sa part, le Président Patrice Kanté KOFFI, a insisté sur le devoir et la responsabilité de l’Internationale Socialiste à exercer la juste et nécessaire pression pour que le parti de Laurent Gbagbo (si tant est le fait qu’il soit toujours socialiste) accepte une transition démocratique pacifiée pour l’unité nationale de la Cote d’Ivoire.
« Alassane Ouattara a été désigné vainqueur de la présidentielle par la commission électorale indépendante donc par le peuple ivoirien dans sa majorité ; nous pensons et croyons fermement qu’il regagnera son fauteuil présidentiel peu de temps après le passage des cinq chefs d’Etat qui constituent le panel des futurs négociations ».
Il est important de noter que l’attitude partisane de notre armée, qui est tout sauf nationale, corse la situation sociopolitique actuelle. En effet, une armée nationale se doit d’être impartiale tout en défendant le peuple qui est le seul et véritable intérêt supérieur qui prévaut à la Nation. Cela s’est récemment vérifié en Tunisie et en Egypte… Une armée à la solde d’un individu n’en n’est pas une : c’est une milice.
Sous des régimes plus autoritaires et répressifs que le nôtre, le peuple a droit à la marche revendicative et protestataire qui est un droit universel. Que chez nous ce droit soit dénié, muselé, réprimé, embrigadé est la preuve que nous vivons actuellement une dictature.
Et quand la dictature s’installe, la révolution s’impose.
Le Président de la délégation RHDP de la Loire
Patrice Kanté KOFFI
Le Secrétaire générale
Ouattara Hamidou
Sources : le chargé de la communication
Landry Dedjay TEHEO
mercredi 23 février 2011
[TRANSPORT] Démarrage des activités de la compagnie aérienne camerounaise Camair-Co (APPA)
La nouvelle compagnie aérienne camerounaise Camair-Co inaugure ses vols entre le Cameroun et la France le 28 mars 2001.
Créée le 11 septembre 2006 par l'Etat camerounais, Camair-Co desservira la France, l'Afrique du Sud, le Bénin, le Congo, la Côte d'Ivoire, le Gabon, la Guinée Equatoriale, le Nigéria, la République Centrafricaine, la République Démocratique du Congo et le Sénégal.
Association de la Presse Panafricaine (APPA)
Créée le 11 septembre 2006 par l'Etat camerounais, Camair-Co desservira la France, l'Afrique du Sud, le Bénin, le Congo, la Côte d'Ivoire, le Gabon, la Guinée Equatoriale, le Nigéria, la République Centrafricaine, la République Démocratique du Congo et le Sénégal.
Association de la Presse Panafricaine (APPA)
mardi 22 février 2011
[POLITIQUE] Aurélien Tricot candidat de la diversité à la primaire socialiste (Nouvel Obs)
Ce septième candidat, adjoint à la mairie de Poitiers, se veut celui de "la jeunesse et la vie réelle des Français".
Un adjoint socialiste à la mairie de Poitiers, Aurélien Tricot, 34 ans, a annoncé vendredi 18 février aux quotidiens Centre Presse et la Nouvelle République sa candidature à la primaire socialiste où il entend être "un candidat incarnant la jeunesse et la vie réelle des Français".
"C'est une idée qui a mûri en discutant avec un certain nombre d'amis qui, comme moi, considèrent impensable qu'il n'y ait pas au PS un candidat incarnant la jeunesse et la vie réelle des Français", a expliqué Aurélien Tricot, adjoint à Alain Claeys, en charge des sports. Cet élu, âgé de 34 ans, affirme être candidat "pour qu'il y ait le choix du candidat à l'élection présidentielle, mais aussi pour initier un débat sur les questions de fond qui se posent pour notre pays".
Les interrogations de la jeunesse
Pour celui qui est le septième candidat déclaré aux primaires organisées par le PS, "les gens qui sont au chômage, les classes populaires, la jeunesse ne se posent pas la question de savoir si les 35 heures constituent un problème. Leurs interrogations sont beaucoup plus concrètes". "Et, pour l'instant, je n'entends pas cela dans la campagne. Je fais partie d'une génération, qui depuis plusieurs années, attend que les aînés montrent l'exemple et cela ne vient pas. Il faut faire entendre cette voix", a ajouté cet attaché parlementaire.
Aurélien Tricot, qui affirme avoir prévenu la première secrétaire socialiste Martine Aubry, la présidente socialiste de la région Poitou-Charentes, Ségolène Royal, elle-même candidate déclarée aux primaires, ainsi que le député-maire socialiste de Poitiers, Alain Claeys, de sa décision, déclare ne pas s'être fixé "d'objectifs en termes de résultat". "Ce ne serait pas raisonnable", a ajouté celui qui souhaite "faire entendre un autre message sur le terrain".
Un adjoint socialiste à la mairie de Poitiers, Aurélien Tricot, 34 ans, a annoncé vendredi 18 février aux quotidiens Centre Presse et la Nouvelle République sa candidature à la primaire socialiste où il entend être "un candidat incarnant la jeunesse et la vie réelle des Français".
"C'est une idée qui a mûri en discutant avec un certain nombre d'amis qui, comme moi, considèrent impensable qu'il n'y ait pas au PS un candidat incarnant la jeunesse et la vie réelle des Français", a expliqué Aurélien Tricot, adjoint à Alain Claeys, en charge des sports. Cet élu, âgé de 34 ans, affirme être candidat "pour qu'il y ait le choix du candidat à l'élection présidentielle, mais aussi pour initier un débat sur les questions de fond qui se posent pour notre pays".
Les interrogations de la jeunesse
Pour celui qui est le septième candidat déclaré aux primaires organisées par le PS, "les gens qui sont au chômage, les classes populaires, la jeunesse ne se posent pas la question de savoir si les 35 heures constituent un problème. Leurs interrogations sont beaucoup plus concrètes". "Et, pour l'instant, je n'entends pas cela dans la campagne. Je fais partie d'une génération, qui depuis plusieurs années, attend que les aînés montrent l'exemple et cela ne vient pas. Il faut faire entendre cette voix", a ajouté cet attaché parlementaire.
Aurélien Tricot, qui affirme avoir prévenu la première secrétaire socialiste Martine Aubry, la présidente socialiste de la région Poitou-Charentes, Ségolène Royal, elle-même candidate déclarée aux primaires, ainsi que le député-maire socialiste de Poitiers, Alain Claeys, de sa décision, déclare ne pas s'être fixé "d'objectifs en termes de résultat". "Ce ne serait pas raisonnable", a ajouté celui qui souhaite "faire entendre un autre message sur le terrain".
lundi 21 février 2011
[SOCIETE] Une note demandant aux policiers d'interpeller des sans-papiers tunisiens retirée (Le Monde)
Une note interne affichée ce week-end au commissariat de Cannes, et prescrivant de cibler prioritairement les ressortissants tunisiens dans le travail d'interpellation des étrangers en situation irrégulière, a été retirée dimanche soir à la demande du directeur départemental de la sécurité publique, a-t-on appris de source préfectorale.
Selon le syndicat Unité SGP Police, cette note informelle prescrivait aux fonctionnaires de police d'interpeller les étrangers en situation irrégulière de "nationalité tunisienne" dans la gare et aux environs, samedi et dimanche. Dans un communiqué, dimanche, le syndicat a exprimé "sa très vive inquiétude quant à l'ambiguïté de cette note faisant apparaître une mission pour le moins très orientée".
"IL EST DANGEREUX D'ORIENTER UNE POLITIQUE
ET DE STIGMATISER UNE NATIONALITÉ"
"En règle génale, [...] on constate une qualité d'étranger en situation irrégulière au cours d'un contrôle de police. Dès lors, que les individus soient tunisiens, roumains, ou autres, nous les interpellons de la même manière !", a expliqué, dimanche, Laurent Martin de Fremont, délégué d'Unité SGP Police, sur Europe 1. "Quand bien même il y a des soucis dans les pays du Maghreb, je crois qu'il est dangereux d'orienter une politique et de stigmatiser une nationalité ou une autre. [...] C'est une mission orientée franchement 'borderline', qui pose un cas de conscience."
Réagissant dimanche soir, la préfecture des Alpes-Maritimes a précisé que la note émanait du chef du service de sécurité publique (SSP) du commissariat de Cannes, ajoutant que "le renforcement du dispositif de surveillance et de mise en œuvre des mesures de reconduite à la frontière s'applique à tous les étrangers en situation irrégulière quelle que soit leur nationalité".
Le nombre des immigrés tunisiens en provenance d'Italie a sensiblement augmenté ces deux dernières semaines dans les Alpes-Maritimes, département voisin de la Péninsule et où la préfecture a décidé de renforcer les patrouilles de surveillance, sur les routes, les voies ferroviaires et maritimes.
Selon le syndicat Unité SGP Police, cette note informelle prescrivait aux fonctionnaires de police d'interpeller les étrangers en situation irrégulière de "nationalité tunisienne" dans la gare et aux environs, samedi et dimanche. Dans un communiqué, dimanche, le syndicat a exprimé "sa très vive inquiétude quant à l'ambiguïté de cette note faisant apparaître une mission pour le moins très orientée".
"IL EST DANGEREUX D'ORIENTER UNE POLITIQUE
ET DE STIGMATISER UNE NATIONALITÉ"
"En règle génale, [...] on constate une qualité d'étranger en situation irrégulière au cours d'un contrôle de police. Dès lors, que les individus soient tunisiens, roumains, ou autres, nous les interpellons de la même manière !", a expliqué, dimanche, Laurent Martin de Fremont, délégué d'Unité SGP Police, sur Europe 1. "Quand bien même il y a des soucis dans les pays du Maghreb, je crois qu'il est dangereux d'orienter une politique et de stigmatiser une nationalité ou une autre. [...] C'est une mission orientée franchement 'borderline', qui pose un cas de conscience."
Réagissant dimanche soir, la préfecture des Alpes-Maritimes a précisé que la note émanait du chef du service de sécurité publique (SSP) du commissariat de Cannes, ajoutant que "le renforcement du dispositif de surveillance et de mise en œuvre des mesures de reconduite à la frontière s'applique à tous les étrangers en situation irrégulière quelle que soit leur nationalité".
Le nombre des immigrés tunisiens en provenance d'Italie a sensiblement augmenté ces deux dernières semaines dans les Alpes-Maritimes, département voisin de la Péninsule et où la préfecture a décidé de renforcer les patrouilles de surveillance, sur les routes, les voies ferroviaires et maritimes.
[EXPULSION]Une camerounaise joueuse football menacée d'expulsion (Le Parisien)
Une joueuse de football du club d'Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), d'origine camerounaise sans-papiers, a été placée en centre de rétention et est menacée d'expulsion, a-t-on appris de son avocate, qui dénonce par ailleurs «l'exploitation» de sa cliente par le club.
Rigoberte MBah, 27 ans, joueuse de football internationale reconnue, a été arrêtée par la police le 17 février et placée en rétention.
Elle avait été recrutée à l'été 2008 par le club de première division d'Hénin-Beaumont, après avoir joué à Brives (Corrèze), qui l'avait fait venir du Cameroun. «Depuis, elle ne bénéficie d'aucun contrat de travail, d'aucune rémunération et a été ballottée de logement de fortune en logement de fortune, d'abord dans un hôtel de passe puis chez un supporter, avant d'être enfin prise en charge par un comité de soutien qui lui a trouvé un appartement à Lille», a expliqué son avocate, Me Emmanuelle Lequien.
Selon elle, «le club d'Hénin-Beaumont n'a jamais fait aucune démarche pour qu'elle soit régularisée, car il avait tout intérêt à maintenir ma cliente dans un état d'isolement et de dépendance, et empêcher ainsi qu'elle aille jouer ailleurs». «Il s'agit d'un comportement scandaleux qui relève de l'exploitation pure et simple», déclare-t-elle, soulignant que la jeune femme ne «reçoit que 50 euros par semaine, alors qu'elle participe à tous les matchs et à 4 entraînements par semaine depuis près de 3 ans».
«On va chercher des champions africains, et après on les traite comme des esclaves et quand on n'a plus besoin d'eux, on les expulse de France», dénonce-t-elle.
«Nous lui avons trouvé un travail mais cela n'a pas permis sa régularisation» explique le club
Le tribunal de Lille a décidé dimanche du maintien en rétention de Mlle MBah. Le comité des sans-papiers 59, le Mrap, ainsi que plusieurs élus, dont le maire d'Hénin-Beaumont, Eugène Binaisse, étaient venus lui apporter leur soutien.
Contacté, le club d'Hénin Beaumont a indiqué que son «statut de club amateur ne permet pas de fournir de contrat de travail. Aucune de nos joueuses n'est d'ailleurs salariée chez nous et il n'y a aucune rémunération». «Nos joueuses touchent juste des primes de match, et Rigoberte Mbah en a elle aussi bénéficié. Nous lui avons trouvé un contrat de travail auprès d'un de nos sponsors, mais cela n'a pas permis sa régularisation», a expliqué Bernard Dumortier, le président du club.
«Nous sommes bien évidemment désolés de ce qui lui arrive, mais ce dont on nous accuse n'est que pur mensonge et calomnie», a-t-il souligné.
Rigoberte MBah, 27 ans, joueuse de football internationale reconnue, a été arrêtée par la police le 17 février et placée en rétention.
Elle avait été recrutée à l'été 2008 par le club de première division d'Hénin-Beaumont, après avoir joué à Brives (Corrèze), qui l'avait fait venir du Cameroun. «Depuis, elle ne bénéficie d'aucun contrat de travail, d'aucune rémunération et a été ballottée de logement de fortune en logement de fortune, d'abord dans un hôtel de passe puis chez un supporter, avant d'être enfin prise en charge par un comité de soutien qui lui a trouvé un appartement à Lille», a expliqué son avocate, Me Emmanuelle Lequien.
Selon elle, «le club d'Hénin-Beaumont n'a jamais fait aucune démarche pour qu'elle soit régularisée, car il avait tout intérêt à maintenir ma cliente dans un état d'isolement et de dépendance, et empêcher ainsi qu'elle aille jouer ailleurs». «Il s'agit d'un comportement scandaleux qui relève de l'exploitation pure et simple», déclare-t-elle, soulignant que la jeune femme ne «reçoit que 50 euros par semaine, alors qu'elle participe à tous les matchs et à 4 entraînements par semaine depuis près de 3 ans».
«On va chercher des champions africains, et après on les traite comme des esclaves et quand on n'a plus besoin d'eux, on les expulse de France», dénonce-t-elle.
«Nous lui avons trouvé un travail mais cela n'a pas permis sa régularisation» explique le club
Le tribunal de Lille a décidé dimanche du maintien en rétention de Mlle MBah. Le comité des sans-papiers 59, le Mrap, ainsi que plusieurs élus, dont le maire d'Hénin-Beaumont, Eugène Binaisse, étaient venus lui apporter leur soutien.
Contacté, le club d'Hénin Beaumont a indiqué que son «statut de club amateur ne permet pas de fournir de contrat de travail. Aucune de nos joueuses n'est d'ailleurs salariée chez nous et il n'y a aucune rémunération». «Nos joueuses touchent juste des primes de match, et Rigoberte Mbah en a elle aussi bénéficié. Nous lui avons trouvé un contrat de travail auprès d'un de nos sponsors, mais cela n'a pas permis sa régularisation», a expliqué Bernard Dumortier, le président du club.
«Nous sommes bien évidemment désolés de ce qui lui arrive, mais ce dont on nous accuse n'est que pur mensonge et calomnie», a-t-il souligné.
vendredi 18 février 2011
[JUSTICE] Éric Zemmour condamné pour provocation à la haine raciale (Le Point)
Le chroniqueur écope de deux mille euros d'amende avec sursis pour provocation à la haine raciale.
Le tribunal correctionnel de Paris a condamné vendredi Éric Zemmour à 2 000 euros d'amende avec sursis pour provocation à la haine raciale pour ses propos controversés sur "les Noirs et les Arabes". Éric Zemmour avait été cité en justice par SOS Racisme, la Licra, le Mrap, l'UEJF et J'accuse, pour des propos tenus le 6 mars 2010 sur Canal+ et France Ô. Dans l'émission de Thierry Ardisson "Salut les Terriens", diffusée sur la chaîne cryptée, Éric Zemmour s'était indigné après une intervention sur les contrôles au faciès : "Mais pourquoi on est contrôlé 17 fois ? Pourquoi ? Parce que la plupart des trafiquants sont noirs et arabes, c'est comme ça, c'est un fait." Le même jour, sur France Ô, il avait estimé, en réponse à une question qui lui était posée, que les employeurs "ont le droit" de refuser des Arabes ou des Noirs.
Dans un premier jugement, la 17e chambre du tribunal a statué sur les poursuites engagées par SOS Racisme, la Licra et le Mrap, qui poursuivaient les propos sur les trafiquants en diffamation à caractère racial et ceux sur les employeurs pour provocation à la discrimination raciale. Le tribunal a relaxé Éric Zemmour du délit de diffamation pour les propos sur les trafiquants. Ces propos sont peut-être "choquants", écrit le tribunal, mais ils ne sont pas "diffamatoires". En revanche, il a condamné l'homme de médias à 1 000 euros d'amende avec sursis pour avoir, sur France Ô, "justifié une pratique discriminatoire illégale - la discrimation à l'embauche - en la présentant comme licite". Par ailleurs, le chroniqueur devra verser 1 000 euros de dommages et intérêts à chacune des trois associations, plus 2 000 euros de frais de justice, soit un total de 9 000 euros.
Jugement
Le tribunal a rendu un second jugement, à la suite des poursuites engagées par les associations UEJF et J'accuse. Ces deux associations poursuivaient uniquement les propos diffusés sur Canal+ concernant les trafiquants, mais tant en diffamation qu'en provocation à la discrimination raciale. Dans ce dossier, la 17e chambre n'a retenu que le délit de provocation à la discrimination raciale et a condamné Éric Zemmour à 1 000 euros d'amende avec sursis. Il devra également verser 1 euro à chacune des parties civiles, plus 750 euros de frais de justice, soit un total de 1 502 euros. Les deux jugements devront enfin faire l'objet d'une publication dans la presse.
En substance, le tribunal a jugé qu'Éric Zemmour avait "dépassé les limites autorisées de la liberté d'expression". Mettant en avant "le crédit qui peut être accordé aux paroles" du prévenu, "un homme de médias, un polémiste reconnu, un trublion parfois", le procureur de la République Anne de Fontette avait requis à l'audience du 14 janvier une condamnation "de principe". Éric Zemmour de son côté s'était défendu avec vigueur, assurant ne pas être un "provocateur", mais un observateur fidèle de la réalité qui refuse le "politiquement correct".
Le tribunal correctionnel de Paris a condamné vendredi Éric Zemmour à 2 000 euros d'amende avec sursis pour provocation à la haine raciale pour ses propos controversés sur "les Noirs et les Arabes". Éric Zemmour avait été cité en justice par SOS Racisme, la Licra, le Mrap, l'UEJF et J'accuse, pour des propos tenus le 6 mars 2010 sur Canal+ et France Ô. Dans l'émission de Thierry Ardisson "Salut les Terriens", diffusée sur la chaîne cryptée, Éric Zemmour s'était indigné après une intervention sur les contrôles au faciès : "Mais pourquoi on est contrôlé 17 fois ? Pourquoi ? Parce que la plupart des trafiquants sont noirs et arabes, c'est comme ça, c'est un fait." Le même jour, sur France Ô, il avait estimé, en réponse à une question qui lui était posée, que les employeurs "ont le droit" de refuser des Arabes ou des Noirs.
Dans un premier jugement, la 17e chambre du tribunal a statué sur les poursuites engagées par SOS Racisme, la Licra et le Mrap, qui poursuivaient les propos sur les trafiquants en diffamation à caractère racial et ceux sur les employeurs pour provocation à la discrimination raciale. Le tribunal a relaxé Éric Zemmour du délit de diffamation pour les propos sur les trafiquants. Ces propos sont peut-être "choquants", écrit le tribunal, mais ils ne sont pas "diffamatoires". En revanche, il a condamné l'homme de médias à 1 000 euros d'amende avec sursis pour avoir, sur France Ô, "justifié une pratique discriminatoire illégale - la discrimation à l'embauche - en la présentant comme licite". Par ailleurs, le chroniqueur devra verser 1 000 euros de dommages et intérêts à chacune des trois associations, plus 2 000 euros de frais de justice, soit un total de 9 000 euros.
Jugement
Le tribunal a rendu un second jugement, à la suite des poursuites engagées par les associations UEJF et J'accuse. Ces deux associations poursuivaient uniquement les propos diffusés sur Canal+ concernant les trafiquants, mais tant en diffamation qu'en provocation à la discrimination raciale. Dans ce dossier, la 17e chambre n'a retenu que le délit de provocation à la discrimination raciale et a condamné Éric Zemmour à 1 000 euros d'amende avec sursis. Il devra également verser 1 euro à chacune des parties civiles, plus 750 euros de frais de justice, soit un total de 1 502 euros. Les deux jugements devront enfin faire l'objet d'une publication dans la presse.
En substance, le tribunal a jugé qu'Éric Zemmour avait "dépassé les limites autorisées de la liberté d'expression". Mettant en avant "le crédit qui peut être accordé aux paroles" du prévenu, "un homme de médias, un polémiste reconnu, un trublion parfois", le procureur de la République Anne de Fontette avait requis à l'audience du 14 janvier une condamnation "de principe". Éric Zemmour de son côté s'était défendu avec vigueur, assurant ne pas être un "provocateur", mais un observateur fidèle de la réalité qui refuse le "politiquement correct".
mercredi 16 février 2011
[PRÉSIDENTIELLE BÉNIN] Meeting du porte-parole du candidat BIO TCHANE vendredi 18 février à Lyon
COCKTAIL - DEBAT AVEC LES BENINOIS DE LYON
SUR LES THEMES
-PROCESSUS ELECTORAL AU BENIN : RISQUE DE CONTESTATION DES ELECTIONS PRESIDENTIELLES DU 06 MARS 2011
-PROJET DE SOCIETE DU CANDIDAT Abdoulaye BIO TCHANE
Intervenant :
SEIDOU SAMOU ADAMBI,
Député à l’Assemblée Nationale du Bénin,
Porte-parole du Candidat Abdoulaye BIO TCHANE
Date :
Vendredi 18 février 2011 à 18h00
Lieu :
Espace Entreprendre Bron
62 bis rue Christian Lacouture
69500 Bron
Bus 81 Laurent Bonnevay-Porte des Alpes
Arrêt : Marne-Lacouture
Contact : 06 34 51 10 07
LE BENIN GARDERA T-IL SON TITRE DE CHAMPION AFRICAIN DE LA DEMOCRATIE ?
http://www.abiotchane.org/
SUR LES THEMES
-PROCESSUS ELECTORAL AU BENIN : RISQUE DE CONTESTATION DES ELECTIONS PRESIDENTIELLES DU 06 MARS 2011
-PROJET DE SOCIETE DU CANDIDAT Abdoulaye BIO TCHANE
Intervenant :
SEIDOU SAMOU ADAMBI,
Député à l’Assemblée Nationale du Bénin,
Porte-parole du Candidat Abdoulaye BIO TCHANE
Date :
Vendredi 18 février 2011 à 18h00
Lieu :
Espace Entreprendre Bron
62 bis rue Christian Lacouture
69500 Bron
Bus 81 Laurent Bonnevay-Porte des Alpes
Arrêt : Marne-Lacouture
Contact : 06 34 51 10 07
LE BENIN GARDERA T-IL SON TITRE DE CHAMPION AFRICAIN DE LA DEMOCRATIE ?
http://www.abiotchane.org/
lundi 14 février 2011
[RACISME] Une affaire de racisme à l’école secoue le village de Treffort (01) (Le Progrès)
Parents d’élèves, habitants et membres de l’équipe pédagogique se sont mobilisés après une affaire de racisme à l’école de Treffort-Cuisiat. Ce qui n’a pas empêché la famille Traoré de quitter la commune fin janvier
La famille Traoré est arrivée à Treffort-Cuisiat le 1 er janvier 2010. Nancy, maman de cinq enfants et surveillante pénitentiaire, est alors mutée à la prison de Bourg-en-Bresse.
Originaire de Côte-d’Ivoire, elle arrive du Bouscat, près de Bordeaux, où elle est conseillère municipale. Mais dès l’arrivée de la famille, tout se complique pour les trois enfants scolarisés : « Ils me disaient que les autres ne jouaient pas avec eux, qu’ils regardaient leurs cheveux… Mais je leur répondais de patienter, que c’était parce qu’ils étaient arrivés en milieu d’année. En plus, on était les premiers Noirs à vivre à Treffort, donc je disais que les enfants de l’école devaient s’habituer », explique Nancy Traoré. Mais les choses s’enveniment vite. D’abord, quelques remarques : « Vous êtes Haïtiens, vous portez la poisse ! ». La mère de famille décide de ne pas s’en soucier. Jusqu’au jour où ce que certains appellent de la « curiosité » va trop loin : « Mon aîné est rentré en pleurs. Il avait mal au ventre, faisait des cauchemars mais ne disait rien. En fait, des CM2 les avaient encerclés à la cantine, avaient jeté leurs plateaux au sol en leur disant « Les Noirs, vous mangez par terre ». Au début, je ne croyais pas mes enfants, tellement ça me paraissait d’un autre siècle. Mais d’autres élèves et les dames de la cantine l’ont confirmé », précise la mère, encore émue. Commence alors une phase de repli. « J’avais peur pour eux. Ils n’avaient pas d’amis, on tirait sur leurs manteaux. Je me renfermais chez moi ». C’est à ce moment-là que des parents d’élèves s’inquiètent et viennent voir Nancy Traoré, qui hésite même à leur ouvrir la porte. Déterminées, elles obtiendront un rendez-vous avec la directrice de l’école de l’époque qui envoie une lettre aux parents sans les convoquer. Les agissements continuent jusqu’au dernier jour de l’année, où M me Traoré récupère un de ses fils « le visage enflé », après avoir reçu des coups. Pendant les vacances, face au mal-être de ses enfants, elle décide d’alerter l’inspection académique (lire par ailleurs). Malgré des souvenirs difficiles, elle ne veut « pas mettre tout le monde dans le même panier. Beaucoup de gens du village sont ouverts d’esprit », dit-elle. À la mairie, Chantal Hutin-Fromont, adjointe aux affaires scolaires, a d’abord conseillé la maman pour trouver des appuis : l’animatrice jeunes, le CCAS… Mais aujourd’hui, elle a plutôt tendance à minimiser. « Depuis son arrivée, M me Traoré voulait vraiment retrouver sa ville d’origine. » Finalement, Nancy Traoré a demandé sa mutation et l’a facilement obtenue compte tenu du contexte, seulement un an après son installation à Treffort-Cuisiat.
La famille Traoré est arrivée à Treffort-Cuisiat le 1 er janvier 2010. Nancy, maman de cinq enfants et surveillante pénitentiaire, est alors mutée à la prison de Bourg-en-Bresse.
Originaire de Côte-d’Ivoire, elle arrive du Bouscat, près de Bordeaux, où elle est conseillère municipale. Mais dès l’arrivée de la famille, tout se complique pour les trois enfants scolarisés : « Ils me disaient que les autres ne jouaient pas avec eux, qu’ils regardaient leurs cheveux… Mais je leur répondais de patienter, que c’était parce qu’ils étaient arrivés en milieu d’année. En plus, on était les premiers Noirs à vivre à Treffort, donc je disais que les enfants de l’école devaient s’habituer », explique Nancy Traoré. Mais les choses s’enveniment vite. D’abord, quelques remarques : « Vous êtes Haïtiens, vous portez la poisse ! ». La mère de famille décide de ne pas s’en soucier. Jusqu’au jour où ce que certains appellent de la « curiosité » va trop loin : « Mon aîné est rentré en pleurs. Il avait mal au ventre, faisait des cauchemars mais ne disait rien. En fait, des CM2 les avaient encerclés à la cantine, avaient jeté leurs plateaux au sol en leur disant « Les Noirs, vous mangez par terre ». Au début, je ne croyais pas mes enfants, tellement ça me paraissait d’un autre siècle. Mais d’autres élèves et les dames de la cantine l’ont confirmé », précise la mère, encore émue. Commence alors une phase de repli. « J’avais peur pour eux. Ils n’avaient pas d’amis, on tirait sur leurs manteaux. Je me renfermais chez moi ». C’est à ce moment-là que des parents d’élèves s’inquiètent et viennent voir Nancy Traoré, qui hésite même à leur ouvrir la porte. Déterminées, elles obtiendront un rendez-vous avec la directrice de l’école de l’époque qui envoie une lettre aux parents sans les convoquer. Les agissements continuent jusqu’au dernier jour de l’année, où M me Traoré récupère un de ses fils « le visage enflé », après avoir reçu des coups. Pendant les vacances, face au mal-être de ses enfants, elle décide d’alerter l’inspection académique (lire par ailleurs). Malgré des souvenirs difficiles, elle ne veut « pas mettre tout le monde dans le même panier. Beaucoup de gens du village sont ouverts d’esprit », dit-elle. À la mairie, Chantal Hutin-Fromont, adjointe aux affaires scolaires, a d’abord conseillé la maman pour trouver des appuis : l’animatrice jeunes, le CCAS… Mais aujourd’hui, elle a plutôt tendance à minimiser. « Depuis son arrivée, M me Traoré voulait vraiment retrouver sa ville d’origine. » Finalement, Nancy Traoré a demandé sa mutation et l’a facilement obtenue compte tenu du contexte, seulement un an après son installation à Treffort-Cuisiat.
samedi 12 février 2011
[MEDIA]Diasporas-News Magazine de Février 2011 disponible gratuitement
Pour lire le numéro de février 2011 cliquez sur le lien :
http://www.echosdafrique.net/images//diasporas_news_fev_2011.pdf
http://www.echosdafrique.net/images//diasporas_news_fev_2011.pdf
[ASSOCIATION] Newsletter février 2011 du COSIM Rhône-Alpes Le développement solidaire par les migrants
Au sommaire de cette lettre d'information :
* A la une : le Forum Social Mondial de Dakar / "En route vers les G8 et G20 français"
* Nos rendez-vous : Formations & Manifestations en Rhône-Alpes
* Un peu de lecture : évaluation du Programme Migrations et Initiatives Economiques; rapport : "Quelles politiques publiques pour les agricultures familiales du Sud ?"; guide du bénévolat à destination des dirigeants associatifs,...
* Les Appels à projets en cours
* Appel à contributions : discussion en ligne sur l'intégration de la migration dans les stratégies nationales de développement.
* Zoom sur : Syfia info, l'agence de presse de l'Afrique au quotidien.
http://www.cosim-rhone-alpes.org/images/doc/Newsletter/newsletter%20n13.pdf
jeudi 10 février 2011
[DISCRIMINATION] le site admission post-bac.fr modifié (Le Parisien)
Le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche a revu sa copie. Sous la pression de la Ligue des droits de l'homme (LDH) et de syndicats de parents d'élèves, de lycéens et d'étudiants, le site Admission post-bac.fr, qui regroupe l'ensemble des formations accessibles une fois le bac en poche, a modifié ses pages Internet, afin qu'il n'induise «aucune discrimination» à l'égard des étrangers.
La semaine dernière, en découvrant que les étrangers ne pouvaient se pré-inscrire via le site gouvernemental à une formation en apprentissage, la Ligue des droits de l'homme (LDH) avait jugé la procédure «discriminatoire» et «parfaitement illégale».
Apprentissage : la pré-inscription en ligne possible pour les étrangers
«Le site est désormais ouvert aux pré-inscriptions dans les formations en apprentissage à tout élève qui en fait la demande, quelle que soit sa nationalité et son lieu de résidence», a expliqué le ministère dans un communiqué. D'autre part, il «affiche désormais une information précise sur la liste des titres de séjour permettant aux candidats étrangers de conclure un contrat d'apprentissage afin de transformer cette pré-inscription en inscription définitive».
Celle-ci sera «soumise à l'obtention d'un titre de séjour permettant de conclure un contrat d'apprentissage», précise le ministère qui invite les candidats à consulter le site service-public.fr.». De quoi décourager lycéens et étudiants sans-papiers.
La semaine dernière, en découvrant que les étrangers ne pouvaient se pré-inscrire via le site gouvernemental à une formation en apprentissage, la Ligue des droits de l'homme (LDH) avait jugé la procédure «discriminatoire» et «parfaitement illégale».
Apprentissage : la pré-inscription en ligne possible pour les étrangers
«Le site est désormais ouvert aux pré-inscriptions dans les formations en apprentissage à tout élève qui en fait la demande, quelle que soit sa nationalité et son lieu de résidence», a expliqué le ministère dans un communiqué. D'autre part, il «affiche désormais une information précise sur la liste des titres de séjour permettant aux candidats étrangers de conclure un contrat d'apprentissage afin de transformer cette pré-inscription en inscription définitive».
Celle-ci sera «soumise à l'obtention d'un titre de séjour permettant de conclure un contrat d'apprentissage», précise le ministère qui invite les candidats à consulter le site service-public.fr.». De quoi décourager lycéens et étudiants sans-papiers.
dimanche 6 février 2011
[LITTERATURE] Édouard Glissant est mort (Le Figaro)
L'écrivain antillais Edouard Glissant est mort aujourd'hui à Paris à l'âge de 82 ans. "Il est mort ce matin. Il était dans un état critique depuis quelque temps mais nous avons travaillé ensemble jusqu'au bout", a déclaré Emmanuelle Collas, directrice des éditions Galaade, qui ont publié une partie de l'oeuvre de l'écrivain.
Auteur d'une oeuvre complexe dans laquelle se mêlent souvenirs, légendes, images poétiques, propos polémiques et réflexions théoriques, Edouard Glissant a ouvert la voie aux écrivains de la créolité, plus jeunes, tels que Patrick Chamoiseau.
Un Renaudot en 1958
Né le 21 septembre en 1928 à Sainte-Marie, dans le nord de la Martinique, enfant d'une famille modeste et élève brillant, il a fait des études de philosophie à la Sorbonne en 1946.
Docteur ès lettres, il a obtenu le prix Renaudot en 1958 pour La Lézarde. Militant activement contre le système colonial, opposé à la guerre d'Algérie, il a été expulsé des Antilles et assigné à résidence en métropole au début des années 60 par le pouvoir gaulliste.
Il a en particulier enseigné en Louisiane (à Bâton-Rouge) et à la City University de New York, où ses leçons sur William Faulkner ont fait autorité.
Auteur d'une oeuvre complexe dans laquelle se mêlent souvenirs, légendes, images poétiques, propos polémiques et réflexions théoriques, Edouard Glissant a ouvert la voie aux écrivains de la créolité, plus jeunes, tels que Patrick Chamoiseau.
Un Renaudot en 1958
Né le 21 septembre en 1928 à Sainte-Marie, dans le nord de la Martinique, enfant d'une famille modeste et élève brillant, il a fait des études de philosophie à la Sorbonne en 1946.
Docteur ès lettres, il a obtenu le prix Renaudot en 1958 pour La Lézarde. Militant activement contre le système colonial, opposé à la guerre d'Algérie, il a été expulsé des Antilles et assigné à résidence en métropole au début des années 60 par le pouvoir gaulliste.
Il a en particulier enseigné en Louisiane (à Bâton-Rouge) et à la City University de New York, où ses leçons sur William Faulkner ont fait autorité.
[AMBIANCE] Soirée Saint Valentin à la Salsa de Lyon vendredi 11 février
LYON EN MOUVEMENT LE 11 FEVRIER 2011 POUR LA SAINT-VALENTIN, A LA SALSA DISCOTHEQUE. COEURS BLANCS, ET VETEMENTS BLANCS, MEME LES BULLES DE CHAMPAGNES SERONT BLANCHES. SEULES LES ROSES SERONT ROSES ET SANS EPINES.
NE MANQUEZ PAS, N'ACCEPTEZ PAS QU'ON VOUS RACONTE LA SOIREE, VENEZ VOIR VOUS-MÊME LA JET SET LYONNAISE. LES CELIBATAIRES SOYEZ GENTLEMEN, CLASSE ET FASHION, CAR IL Y AURA DE QUOI TROUVER L'AME SOEUR, LES AMOUREUX VENEZ LUI DIRE ENCORE OUIIIIIIIIIIIIIIIIII AUTOUR D'UN CHAMPAGNE ET D'UNE ROSE...
NE MANQUEZ PAS, N'ACCEPTEZ PAS QU'ON VOUS RACONTE LA SOIREE, VENEZ VOIR VOUS-MÊME LA JET SET LYONNAISE. LES CELIBATAIRES SOYEZ GENTLEMEN, CLASSE ET FASHION, CAR IL Y AURA DE QUOI TROUVER L'AME SOEUR, LES AMOUREUX VENEZ LUI DIRE ENCORE OUIIIIIIIIIIIIIIIIII AUTOUR D'UN CHAMPAGNE ET D'UNE ROSE...
[SPECTACLE] Afrique en scène jeudi 31 mars à l'Elysée Montmartre
Venez découvrir et soutenir les jeunes talents de la scène africaine :
Daara J family, Smod , Regis Kole, Awa Ly, Ba Cissoko, Naby, Amen Viana , Djazia Satour, 36 states, Imany, Fresk, Fafa Ruffino, Baloji
Une soirée de fêtes et de duos inédits ! avec le soutien de Lokua Kanza, William Baldé !
Prenez vos places !
www.afrique-en-scene.com
Daara J family, Smod , Regis Kole, Awa Ly, Ba Cissoko, Naby, Amen Viana , Djazia Satour, 36 states, Imany, Fresk, Fafa Ruffino, Baloji
Une soirée de fêtes et de duos inédits ! avec le soutien de Lokua Kanza, William Baldé !
Prenez vos places !
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[TELEVISION] "MAGHREB-ORIENT-EXPRESS" dimanche 6 février à 20h sur TV5 monde
Une émission spéciale de la rédaction de TV5MONDE
Dimanche 6 février 2011 à 20h00 (heure de Paris)
sur TV5MONDE France Belgique Suisse*
Présentation : Mohamed Kaci
Rédaction en chef : Paul Germain
Format : 26'
SPÉCIALE EGYPTE / Tous les regards sont rivés sur la Place Tahrir, au Caire. Le Président Moubarak va-t-il céder aux pressions de la rue et aux pressions diplomatiques venues des Etats-Unis essentiellement? Après la révolution en Tunisie, assiste-t-on aux prémices d'un "Printemps arabe"?
Invités sur le plateau de TV5MONDE :
- Paula Jacques, née au Caire, écrivain et animatrice de radio, auteur de "Kayro Jacobi, juste avant l"oubli"
- Robert Solé, journaliste et écrivain d'origine égyptienne, auteur de "Une soirée au Caire"
- Walid Mattar, réalisateur tunisien, auteur du film "Condamnations".
Et en duplex du Caire, Nadia Kamel, réalisatrice égyptienne, auteur de "salade Maison". (Sous réserves)
* Diffusions :
TV5MONDE France Belgique Suisse : dimanche 6 février 2011 à 20h00 (heure de Paris)
TV5MONDE Europe : dimanche 6 février 2011 à 20h00 (heure de Berlin)
TV5MONDE Maghreb-Orient : dimanche 6 février 2011 à 20h00 (heure de Beyrouth) = 21h00 (heure du Caire)
TV5MONDE Afrique : dimanche 6 février 2011 à 20h00 (heure de Dakar)
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