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mercredi 29 septembre 2010

[IMMIGRATION] Début vendredi du fichage biométrique des étrangers bénéficiaires du retour aidé (TV5 MONDE)


Les étrangers bénéficiant du retour aidé dans leurs pays, Roms en particulier, devront laisser leurs empreintes digitales à partir de vendredi, avec le début d'un fichage biométrique visant, selon le ministère de l'immigration, à lutter contre la fraude à ces aides.
Les étrangers bénéficiant du retour aidé dans leurs pays, Roms en particulier, devront laisser leurs empreintes digitales à partir de vendredi, avec le début d'un fichage biométrique visant, selon le ministère de l'immigration, à lutter contre la fraude à ces aides.

Très critiquée par les associations, cette phase biométrique du fichier Oscar (Outil simplifié de contrôle des aides au retour) se fera sous contrôle de l'Office français de l'immigration et de l'intégration.

Créé par décret le 26 octobre 2009, Oscar est déjà actif sous forme de bases de données comprenant l'identité des personnes ayant bénéficié des trois aides au retour (humanitaire, volontaire et à l'insertion).

Les Roms, notamment, sont soupçonnés par les autorités d'effectuer des aller-retours vers la France pour bénéficier plusieurs fois, sous une fausse identité, de l'aide au retour humanitaire (ARH, 300 euros par adulte, 100 euros par enfant, plus le billet de transport).

15.236 aides au retour ont été délivrées en 2009 pour 9 millions d'euros, même montant qu'en 2008.

Oscar est visé par un recours devant le Conseil d'Etat de la Ligue des droits de l'Homme (LDH), du Groupe d'information et de soutien des immigrés (Gisti) et d'Imaginons un réseau Internet solidaire (Iris).

"Ce fichage biométrique représente pour les Roms, dans le contexte de la campagne xénophobe conduite depuis cet été par le gouvernement", un "danger immédiat" et "massif", estiment ces associations.

Elles dénoncent un dispositif d'éloignement forcé des étrangers essentiellement de Roumanie et Bulgarie, citant le nombre d'ARH accordées aux ressortissants de ces deux pays depuis leur adhésion à l'UE en 2007: moins de 400 en 2005 et 2006, 3.000 en 2007, plus de 10.000 en 2008, plus de 12.000 en 2009.

"Oscar ne concernera que de manière très marginale les citoyens des autres pays de l'UE" et "dans la mesure où il est pratiquement impossible à un ressortissant d'un pays tiers ayant bénéficié d'une aide au retour de revenir sur le territoire français faute d'obtention d'un visa, le fichier aura pour usage exclusif d'entraver la liberté de circulation des Roms roumains ou bulgares", selon ces associations.

jeudi 23 septembre 2010

[OUTRE MER] Un lycéen poignardé à Schoelcher en Martinique (France info)

Un élève du lycée professionnel de Batelière à Schoelcher, en Martinique, a reçu, mardi hier après-midi, un coup de couteau mortel devant son établissement scolaire. Il est mort, lors de son transfert à l’hôpital.

Selon un témoin du drame, le jeune lycéen aurait été agressé par des jeunes venus d’une cité HLM toute proche. Plusieurs suspects ont été interpellés par les gendarmes quelques heures après le drame. Une cellule de crise a été mise en place par le recteur d’académie.

mercredi 22 septembre 2010

[MUSIQUE] Le chanteur camerounais Longuè Longuè retourne en prison à Bordeaux (Afrik.com)


Le chanteur camerounais a été condamné à 10 ans de prison dans une affaire de mœurs

Chanteur très célèbre au Cameroun depuis son titre Ayo Africa dans lequel il se positionnait en libérateur de l’Afrique, le chanteur de Makossa Longuè Longuè a écopé de dix ans de prison ferme, devant la cour d’assise de Bordeaux, en France, dans l’affaire de viol qui l’oppose à la famille de son ex-épouse. Les avocats du chanteur, qui a toujours clamé son innocence, ont annoncé qu’ils feront appel de cette décision.

Retour à la case prison pour le chanteur camerounais Longuè Longuè dit « le libérateur ». Poursuivi pour « viol par personne ayant autorité », l’artiste de Makossa très célèbre au Cameroun, de son vrai nom Longkana Agno, a été condamné, le 16 septembre, à 10 ans de prison par la cour d’assise du tribunal de grande instance de Bordeaux, dans le sud-ouest de la France. Un verdict d’autant plus sévère que le chanteur, qui bénéficiait d’une mise en liberté sous caution dans la même affaire a interrompu son séjour au Cameroun pour se présenter devant la justice française. Il espérait être « définitivement blanchi » dans cette affaire de mœurs qui le poursuit depuis près de cinq ans.

C’est en novembre 2005 que commencent les déboires de l’artiste. Longuè Longuè est alors interpellé de façon spectaculaire à Nantes, en France, où il s’apprête à donner un concert. Il est peu après transféré à la maison d’arrêt de Bordeaux. Une camerounaise du nom d’Ebéné Mbassi est à l’origine de la plainte qui a motivé cette interpellation. Alors qu’elle se présente comme son épouse, elle l’accuse d’avoir violé sa nièce, âgée de 17 au moment des faits. La communauté camerounaise est d’autant plus émue par cette affaire que Longuè Longuè n’est pas n’importe qui. Chanteur engagé, révélé au public une décennie plus tôt par le titre « Ayo Africa » dans lequel il plaint le sort du continent africain victime de dictature et de pillage, il a réussi à s’installer dans les cœurs par ses chansons destinées à éveiller les consciences sur fond de mélodies endiablées. C’est sans doute fort de cette popularité qu’un bienfaiteur – le footballeur Eto’o Fils, selon certains - paye sa caution. Après trois mois de détention préventive, il est donc remis en liberté conditionnelle le 22 février 2006.

Il a toujours clamé son innocence

C’est l’occasion, pour lui, de clamer tout haut son innocence. Selon l’artiste, l’affaire ne serait qu’une sombre machination orchestrée par son épouse qui lui reprocherait en réalité de l’avoir laissée tomber. « C’est plus d’un an après notre séparation que, frustrée, elle m’a collé cette affaire au dos. La fillette en question disait être vierge. Or son copain convoqué par les enquêteurs a avoué avoir eu plusieurs rapports sexuels avec elle. La fille a confessé finalement avoir menti », confiera-t-il au quotidien camerounais Mutations, lors d’une interview. Longuè Longuè semble même très confiant, puisqu’il met sur le marché, en juillet de la même année, un nouveau disque au titre très évocateur : « le libérateur libéré ». Les paroles de Examen de conscience, un des titres phares de cet opus, semblent d’ailleurs résumer son état d’esprit : « avant de condamner, fais ton examen de conscience, car tu seras jugé (…) chacun a son tour chez le coiffeur », déclame-t-il. Dans le clip qu’il consacre à cette chanson, il met aussi en scène son arrestation musclée quelques mois plus tôt, par des policiers français. Le clip fait un buzz sur internet, tandis qu’au Cameroun, l’album s’installe au sommet des charts, en dépit du piratage des œuvres qui parasite jusqu’à la moelle la production musicale.

La roue ne semble pas avoir tourné dans le sens qu’espérait Longuè Longuè dans sa chanson. Avant de quitter le Cameroun pour venir à son procès, le chanteur avait sollicité l’intervention du couple présidentiel camerounais et l’annonce de la venue de l’ancien footballeur Roger Milla à son procès le réconfortait, tant il appréhendait son passage devant la cour d’assise. « La cour d’assise c’est comme la loterie, car les jurés peuvent voter à leur guise, sachant que c’est une affaire de mœurs », avait-il confié au quotidien Mutations. Ceux-ci ont donc voté contre lui, d’où sa condamnation à dix ans de prison. Longuè Longuè chez qui semble s’être réveillée une vocation religieuse, puisque dans son dernier album il y consacre deux titres - demande à Dieu et Merci seigneur -, pourrait bien méditer la maxime très connue des chrétiens : « Les voies du ciel sont insondables ». Peut-être rebondira-t-il plus haut qu’après sa première incarcération ? Ses avocats ont décidé de faire appel de sa condamnation.

dimanche 19 septembre 2010

[MUSIQUE] Mort de Patrick Saint-Eloi, ex membre de Kassav (Staragora)



Patrick Saint-Eloi, le crooner antillais est décédé samedi 18 septembre des suites d'un
cancer. Cet ancien membre du groupe Kassav laisse la Guadeloupe et le monde du zouk love en deuil.

Le musicien et chanteur guadeloupéen Patrick Saint-Eloi est décidé samedi 18 septembre à l'âge de 52 ans.
Ce sont les membres de sa famille qui ont annoncé sa mort. Patrick Saint-Eloi a succombé à un cancer, à Poite-à-Pitre.
Chanteur de zouk très populaire en Guadeloupe, Patrick Saint-Eloi s'est d'abord fait connaître en tant que membre du groupe Kassav.
Il participe au succès du groupe emmené par Jocelyne Béroard et Jacob Desvarieux, avant de quitter la formation en 2002.
Il retourne également s'installer en Guadeloupe à cette époque.
Chantre du zouk love, Patrick Saint-Eloi était un crooner hors pair qui s'est fait connaître en solo notamment grâce à l'album Zoukamine.
Avec sa disparition, c'est tout le monde de la musique antillaise qui est en deuil.
Patrick Saint-Eloi sera enterré en Guadeloupe, au Moule, la ville où il est né.

mercredi 15 septembre 2010

[RWANDA] Extradition d'un médecin refusée (Le Figaro)

Un avis défavorable à l'extradition du médecin rwandais, Eugène Rwamucyo, soupçonné d'être impliqué dans le génocide des Tutsis en 1994, a été prononcé aujourd'hui par la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Versailles, mettant ainsi fin à cette procédure.

La chambre, qui a refusé le nouveau supplément d'information requis mercredi dernier, a également décidé la remise en liberté de M. Rwamucyo, qui avait été interpellé en mai lors d'une cérémonie d'obsèques à Sannois (Val-d'Oise) en vertu d'un mandat d'arrêt international délivré par le Rwanda en 2007. "C'est un soulagement, car c'est un dossier très politique et donc c'est la victoire du droit sur la politique", a déclaré Me Philippe Meilhac, l'avocat de M. Rwamucyo.

Il est notamment accusé par Kigali d'avoir participé à des réunions de responsables génocidaires à Butare (sud du Rwanda) en 1994, dont l'une sous l'égide du Premier ministre de l'époque, Jean Kambanda, condamné à la perpétuité par le Tribunal pénal international pour le Rwanda. Environ 800.000 Tutsis et Hutus modérés ont été tués, selon l'Organisation des Nations unies, entre avril et juillet 1994 au cours du génocide rwandais. M. Rwamucyo est par ailleurs visé par une information judiciaire ouverte à Paris en 2008 pour génocide, crimes contre l'humanité et complicités après une plainte du Collectif des Parties civiles pour le Rwanda.

mardi 14 septembre 2010

[PETITION] SOS Racisme, Libération et la Règle du Jeu lancent une grande pétition TOUCHE PAS A MA NATION !

Parce qu’il est inadmissible que le Chef de l'Etat fasse l’amalgame entre délinquance et immigration ;
Parce que nous ne pouvons accepter que l’on distingue des « Français de souche » et des « Français de papiers » ;
Parce que les étrangers doivent cesser de servir de boucs émissaires aux maux de la société.

Il est urgent de prononcer un triple « NON » face au projet de loi d’Eric Besson :

Non à l’extension des possibilités de déchéance de la nationalité !

Non à la stigmatisation des roms et des gens du voyages !

Non au recul des droits des étrangers contenu dans le projet de loi Besson !

JE REFUSE AVEC FORCE CETTE DERIVE :

JE SIGNE SUR WWW.TOUCHEPASAMANATION.COM

lundi 13 septembre 2010

[RELIGION] Le cardinal ghanéen Turkson dessine à Rome un catholicisme africain (La Croix)

Nommé il y a près d’un an à la tête du Conseil pontifical Justice et Paix, le cardinal ghanéen Peter Turkson prend la mesure de ses nouvelles fonctions. Il sera aux côtés de Benoît XVI lors de sa visite d’État au Royaume-Uni, du 16 au 19 septembre.

Nommé par Benoît XVI président du Conseil pontifical Justice et Paix, à Rome, le 24 octobre 2009 (1), le cardinal ghanéen Peter Kodwo Appiah Turkson, à 61 ans, prend la mesure de ses nouvelles fonctions : « Notre structure est très légère, constate-t-il. Tout compris, nous ne sommes que 18 personnes. Or, notre domaine d’action et de réflexion englobe les questions politiques, économiques, le désarmement, les droits de l’homme, l’écologie… »

Pas question pour autant de baisser les bras devant l’ampleur de la tâche : « Il nous faut travailler en réseau, avec les Caritas nationales, les correspondants de Pax Christi, les diocèses, les universités catholiques… »

Suivant la tradition de ses prédécesseurs, notamment le cardinal français Roger Etchegaray, il se rend sur le terrain. Ce fut le cas récemment au Nigeria, blessé par des luttes interethniques. L’Afrique reste d’ailleurs chère au cœur de cet homme jovial et fier de ses origines : « Mon pays, le Ghana, tire son nom d’un très ancien royaume africain. Sous la colonisation britannique, il s’appelait Gold Coast, en raison de ses mines d’or. »

Le grand saut hors d’Afrique
Son histoire est aussi religieuse : « ‘Découverts’ par les Portugais, nous sommes donc devenus catholiques. Puis, les Hollandais leur ayant succédé, nous sommes devenus calvinistes. Et avec les Anglais, nous sommes devenus méthodistes et anglicans. Notre Église est très ancienne, et nous n’avons jamais connu un christianisme sans divisions. »

Son père, charpentier, était catholique. Sa mère, méthodiste, est devenue catholique. Ils ont eu dix enfants, six garçons et quatre filles. D’où la bonne trentaine de neveux et nièces du premier cardinal ghanéen de l’histoire. Il se souvient : « Nous vivions à Nsuta, une ville minière. La paroisse catholique était desservie épisodiquement par un missionnaire hollandais. À 10 ans, je lui ai écrit pour lui dire que je voulais entrer au séminaire. Mon père a réuni toute la famille. Devant eux, j’ai expliqué mon choix. Il a donné son accord. »

Plus tard, ce fut le grand saut hors d’Afrique : « L’évêque m’a envoyé aux États-Unis, où j’ai été ordonné diacre. Et le 20 juillet 1975, j’ai été ordonné prêtre pour mon diocèse de Cape Coast, le plus ancien du Ghana, fondé en 1879. »

«En Afrique, les liens familiaux et ethniques donnent sens à la vie»
Le futur cardinal poursuit ses études à Rome, à l’Institut biblique. C’est là, le 6 octobre 1992, qu’il apprend, à sa grande surprise, qu’il est nommé évêque de son diocèse : « J’ai voulu être ordonné au Ghana et non pas à Rome, car je voulais être au milieu du peuple que je devais servir. J’ai toujours pensé que nous sommes avant tout des pasteurs, des témoins du Christ. Le pouvoir ne doit pas être notre objectif. » Mais, cinq ans plus tard, il est élu président de sa conférence épiscopale. Créé cardinal par Jean-Paul II le 21 octobre 2003, habitué des synodes romains, il fut, du 4 au 25 octobre 2009, rapporteur général du deuxième synode des évêques sur l’Afrique.

Attentif à la croissance remarquée des catholiques africains, le cardinal Turkson est sans concessions sur le catholicisme à l’africaine : « En Afrique, les liens familiaux et ethniques donnent sens à la vie. Mais les baptisés doivent élargir leur vision à ceux qui ne sont pas membres de leur famille, de leur ethnie. On a bien vu, au Rwanda, à quel point c’est difficile. C’est un défi pour l’Église en Afrique. C’est toute une cohérence de vie qu’il nous faut recréer, car beaucoup de baptisés ne sont pas convertis en profondeur. Lorsque le christianisme s’en tient à un formalisme, voire à des formalités, il ne conduit pas à une relation avec le Christ. »

Face à ce risque, le cardinal Turkson est attentif à l’évolution des mouvements charismatiques catholiques ou des groupes évangéliques néopentecôtistes : « Ils veulent combler ce fossé, redonner un sens à la vie spirituelle. »

«Si l’Europe devenait moins chrétienne, nous serions comme orphelins»
Vis-à-vis de l’Occident, le cardinal noir est sans concessions. En octobre 2009, durant le dernier synode sur l’Afrique, lui et ses pairs avaient fustigé le « nouvel impérialisme culturel », « les nouveaux modèles familiaux » venus d’Occident.

Il s’en explique : « En Afrique, nous considérons que nous sommes tous membres d’une famille humaine, et que nous devons la perpétuer en donnant la vie. Si on nous propose des modes de vie qui ne permettent pas cet engendrement, nous disons que cela porte atteinte à la survie de la société. Pour nous, c’est une étrangeté, qui ne débouche pas sur la vie. Et, d’un sentiment d’étrangeté à un sentiment de rejet, il n’y a qu’un pas. Respecter les droits des minorités, notamment homosexuelles, ne signifie pas reconnaître leur mode de vie. »

De même, précise-t-il, « si l’Europe devait devenir moins chrétienne, nous serions alors comme orphelins, dépositaires d’une expérience de foi, mais sans parents ».

«Si Dieu voulait voir un Noir devenir pape, qu’il en soit remercié !»
Sensibles aux critiques pesant actuellement sur le célibat sacerdotal, mais surtout aux écarts dont il serait l’objet sur le continent noir, Mgr Turkson réagit : « S’agit-il là d’un problème exclusivement africain, ou qui touche exclusivement les prêtres ? Non. Cette question de la fidélité à un état de vie se pose aussi aux couples mariés. Le célibat suppose une vie spirituelle intense, profonde, et une discipline de vie réelle et sérieuse, ouverte à la grâce. Car ce mode de vie n’est pas naturel. Il ne peut être vécu qu’avec l’aide de Dieu. Telle est du moins mon expérience personnelle. Pas plus qu’aucun autre prêtre, je ne suis un surhomme ! »

Le cardinal ghanéen, qui a participé au conclave ayant élu Benoît XVI, est souvent interrogé sur l’élection éventuelle d’un futur pape noir. Sa réponse, maligne, ne varie pas, dans un grand sourire : « Si Dieu voulait voir un Noir devenir pape, qu’il en soit remercié ! »

mercredi 8 septembre 2010

[DEBAT] "L'Afrique au coeur de l'Europe" au Forum Libération de Lyon samedi 25 septembre

Samedi 25 septembre 2010, au Forum Liberation, de 9h30 à 11h, Hôtel de Ville, Salle des Anciennes Archives :

"L'Afrique au coeur de l'Europe" :
Dominique David, André-Julien Mbem & Marc Semo

http://www.forum-lyon-liberation.org/

http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=23396

dimanche 5 septembre 2010

[MEDIA] Halle Berry 2e black en couverture de du magazine Vogue aux USA depuis 118 ans

Halle Berry a déclaré : "La couverture du Vogue de septembre signifie tellement pour une femme de couleur (groosses consommatrices !), dans le monde de la mode, au niveau culturel aussi, il n'y avait aucun moyen pour que je dise "non, je ne veux pas être sur la plus grande publication de l'année"

"Vogue USA" de septembre est sorti, et c’est la deuxième fois DEPUIS 1892 (en 118 ans !) que le magazine de mode met une "noire" (ici une métisse) en couverture, après Naomi Campbell en 1989.

Mais qu'est ce que vous attendiez ?
La parité ?

http://www.culturefemme.com/article6712.html

http://www.plurielles.fr/mode/mode-stars/halle-berry-fait-la-une-du-numero-de-septembre-de-vogue-6036645-402.html

samedi 4 septembre 2010

[ASSOCIATION] L'AMAF recherche une salle pour le 18 ou 19 novembre


Nous recherchons une salle pour le 18 ou 19 novembre pour fêter le 54e anniversaire de indépendances de la Tunisie et du Maroc et le 50e anniversaire des indépendances des pays d'Afrique noire. Lors de cette soirée intitulée "France Afrique , Europe Asie en mouvement " nous allons primer des hommes et des femmes qui oeuvrent pour le bien vivre enemble et des femmes qui font la différence comme Mme la député honoraire Bernadette Isaac Sibille, Mme la sénatrice Christiane Demonstès, Karim Zerbi , Eleéazar Bafounta,,Nasser,, Père Jean Marie Peticlec ,Mme Andrée Michon, les associations comme SOPE , Associations des Burkinabé de Lyon , Association Turque Fraternité et Tolérance, Association de la Communauté Ivoirienne de Rhone alpesa (CIRAL)ssociations des Etudiants et stagiaires Maliens, Agir pour la Citoyenneté (APC.), association Albertine PABINGUI,.....; d'autres femmes et hommes qui font la différence viendront d'Afrique et d'Europe.
Après midi conférence et soirée de miss maman et remise des prix aux lauréats;
Entrée sera gratuite.
Ceux qui peuvent nous aider pour une salle à titre gracieux peuvent nous contacter. Ces manifestations auront lieu dans le cadre de nos 3e Entretiens Christiane Alibert..
d'avance nous vous remercions.
Delphine BAYA0033632061291sitewww/amaf-web.fr

vendredi 3 septembre 2010

[DIASPORA] Rencontre des jeunes béninois avec le Dr. Eric ADJA à Lyon

Trois ans après la tenue du Forum national sur l’emploi des jeunes, à Cotonou, du 08 au 10

mars 2007, quel est le bilan des initiatives en faveur de la jeunesse au Bénin ? Comment

encourager l’emploi, l’esprit de leadership, de créativité et d’entreprise des jeunes

béninois, de l’intérieur du pays et de la diaspora ?


Le Dr ADJA Eric, nouveau Président du Fonds Mondial de la Diaspora (FMD) à Genève, répondra à

toutes vos questions... sur l’avenir des jeunes béninois de la région Rhône-Alpes.


Outre les questions d’actualité, Monsieur ADJA s’intéressera également aux questions les plus

fréquentes que se posent les jeunes Béninois de l’extérieur :
- Comment contribuer efficacement au développement notre Nation commune ?
- Quelles sont les actions et projets du Gouvernement en faveur de la jeunesse ?
- Quelles sont les raisons d’espérer en l’avenir du Bénin et de l’Afrique ?
- Quels sont les perspectives d’insertions professionnelles au Bénin à la fin des études ? …

MUSEE AFRICAIN
150 cours Gambetta 69007
Lyon, France


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