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mardi 28 février 2012

[SENEGAL LYON] Salam Diallo et le Nokoss Band en spectacle vendredi 2 mars

SALAM DIALLO ET LE NOKOSS BAND
Le roi de l'ambiance, la machine à tubes du mbalax viens vous interpreter ses titres en live avec son orchestre le Nokoss Band il vous presenteras son Nouvel Album sortie prevu en fevrier
Lieu : LA BOULANGERIE
Adresse : 108 BOULEVARD DE L'ARTILLERIE
Ville : 69008 LYON
Capacité d'accueil du lieu : 700 places
Organisation : DOMOU JOLOFF
Infoline : 0628727827
Email : info@domoujoloff.com
Site Web : WWW.DOMOUJOLOFF.COM
Facebook : http://www.facebook.com/pages/Domou-Joloff/157993710894627
Tarif prévente : UNIQUEMENT SUR PLACE
Tarif sur place : 25 EUROS
Tarif bar : SOFT 3 EUROS HARD 5 EUROS BOUTEILLES 80 EUROS

lundi 27 février 2012

[COTE D'IVOIRE LYON] Le Doyen Touré Disso et son fils Paparrazzi en deuil

AVIS DE DECES

Famille TOURE Disso à Katiola et à Abidjan Côte d’ivoire.
M. TOURE Disso Serge Paparrazzy à Lyon.
Famille IRIE Bito Alexis à Lyon.
Famille Aka Ahou Georgette à Paris.
Famille TOURE Pognan à Lyon et à Katiola.
Famille TOURE Petangui à Abidjan et à Katiola.
Famille TOURE Irelafiala à Abidjan.
Famille GOBA Joachim à Lyon.
Famille HIE Mikou Jocelin à Lyon et en Côte d’ivoire.

La CIRAL : Communauté des Ivoiriens de Rhône-Alpes , son conseil d’ADMINISTRATION , son BUREAU et son conseil de SAGES ont la profonde douleur de vous annoncer le décès de la fille du doyen TOURE Disso Patrice.

Leur fille , leur nièce , leur sœur et leur cousine :
TOURE Disso Estelle Morvan décédée le 12 février 2012 à Rouen à l’âge de 27ans.

Une veillée de prière et de soutien aura lieu le Vendredi 9 Mars 2012 à l’église SAINTE TRINITE 111 avenue Mermoz Lyon 8ème de 19h à 3h du matin.

Merci d’avance pour votre soutien.

Président KONE au 06 43 49 52 14
IRIE BITO Alexis au 06 68 15 24 14
TOURE DISSO Serge Paparrazzy au 06 82 99 67 39

dimanche 26 février 2012

[SEGREGATION] Dans ce lycée, Noirs et Blancs ne déjeunent pas ensemble (Rue 89)

Un parent d'élève a alerté Rue89 : dans un lycée agricole du sud de la France, la candidature de Marine Le Pen à la présidentielle exacerbe le racisme de certains.


Des vaches, non loin du lycée
Mi-février, en pleine vague de froid, le lycée paraît sans vie : rectangles en béton silencieux et pelouse gelée. Mais devant le réfectoire, dès 11h45, des dizaines de jeunes s'agglutinent, et il se passe quelque chose : les Noirs mettent leurs sacs près de la vitre ; les Blancs, à un autre endroit.

Beaucoup de lycéens ne souhaitent pas discuter de politique, certains déclinent par un sourire ironique, déplaisant. Les premiers qui témoignent sont de gauche : une partie des élèves est tentée par le FN, disent-ils, et c'est pour virer les étrangers.

« Ils disent que les Noirs sont sales »

Claire – tous les prénoms ont été changés, à la demande des élèves ou bien pour les protéger –, 16 ans, nous a donné rendez-vous dans « le temple du shopping » de la ville d'à côté. Claire est une première de classe, habillée de bleu et marron, fan de l'écrivain Pierre Bottero , utilisant l'expression « c'est avantageux » pour dire « c'est frais ».

Elle se dit de gauche : « En 2007, j'étais en CM2, et j'étais pour Besancenot » (elle tient ça de ses parents). Claire pense que Marine Le Pen peut passer : « Tous les petits vieux la trouvent bien mignonne. » Au lycée ?

« Au lycée, y a pas mal de racistes, surtout des garçons. Ils disent que les Noirs sont sales, que ce sont des crades. »

Plus âgée, Lucie, en BTS production animale, est une « grosse glandeuse » très sympathique, qui aimerait devenir véto, mais ne s'en donne pas les moyens (boîte de nuit tous les jeudis soirs, entre autres). Lucie ne vote pas. « Pas assez cultivée. Je trouve le journal Le Monde trop difficile, je n'arrive pas à le tenir. »

Sur le racisme, elle dit :

« Au lycée, [les Blancs] ne mangent pas à côté des filles noires. Mes grand-parents n'aiment pas les Arabes, mais à ce point-là je n'ai jamais vu ça. Dans leur tête, c'est fixé, il n'y a que Le Pen qui peut y arriver. »

« Elles profitent du racisme »

Les filles noires ? Une bande de copines, en bac pro service en milieu rural (SMR), venant de la ville. C'est elles qui sont visées.

Au lycée, ces filles noires, urbaines, des quartiers, cohabitent avec des jeunes Blancs issus d'un milieu modeste (mère cantinière, père à la SNCF, par exemple), rural, ou les deux. Claire trouve que les remarques racistes sont « infondées », bien sûr, mais elle ne les condamne pas fermement. Elles n'aime pas ces filles pleines d'exubérance. Claire semble répéter un discours cent fois entendu quand elle dit :

« Ce n'est pas parce qu'elles sont noires, mais elles ont toutes un grain. Provocatrices, en talons aiguilles. Elles sont toujours ensemble et cherchent à avoir mauvaise réputation. Elles profitent du racisme envers elles pour retourner le racisme. »

Plusieurs heures plus tard, Lucie dit à peu près la même chose. Elle semble ne pas se rendre compte de la violence de ses mots :

« Elles sont spéciales, ce sont des pouf'. Elles s'isolent, et elles critiquent les paysans. Elles parlent super fort aussi, on entend qu'elles, c'est pour ça qu'on s'assoit loin à la cantine. »

« Leurs parents ne sortent pas de chez eux »

Claire et Lucie ne se révoltent donc pas spécialement quand leurs camarades de classe insultent les filles noires ou les regardent avec mépris. Elles laissent faire. Ce sont souvent des fils d'agriculteurs, disent-elles. Lucie essaye de trouver des circonstances atténuantes à ses camarades :

« Ces mecs, ils ont des parents qui ne sortent pas de chez eux, qui regardent la télé et qui bloquent dès qu'il y a un fait divers avec un Noir ou un Arabe. Je connais un paysan, il habite encore chez sa mère à 40 ans, le pauvre. Il déteste Harry Roselmack. Il y en a plein des comme ça. Et puis, faut arrêter, les remarques racistes, c'est pas tout le temps. »

De son côté, Claire précise que certains sont plus ouverts que d'autres. Elle pense à une copine, « fille de paysans », « qui a récemment envisagé de lire le journal d'Anne Franck ».

« Sales Noirs, laissez-nous partir »

Plus tard, Mariam et Amina sortent de la cantine, sous un ciel aux nuages jaunes et froids. Elles sont noires, dans la fameuse filière SMR (un peu par défaut, elles ne savaient pas où aller après le BEP). Dès que la question du racisme au lycée est posée, elles ne s'arrêtent plus de raconter :

« Il y a beaucoup de problèmes avec les gens de couleur ici. Ils disent “vivement la vague bleue”, en référence à Marine Le Pen. »

La présidentielle rend la situation plus difficile, disent-elles.

« Ce n'était pas pareil, il y a deux ans. Ils nous disent qu'ils vont enfin pouvoir nous dégager. »

Mariam, 19 ans, timide, raconte qu'elle était enceinte l'année dernière, et qu'on lui a mis un coup d'épaule. On l'a aussi traitée de singe. Elle dit que « cela se frotte » toujours dans le bus ou au self-service :

« Ils rigolent de nous. »

« Ils nous doublent dans la queue. »

« Ils se mettent très loin de nous, même quand il y a une table de huit places libre à côté. »

Amina, plus explosive, raconte une anecdote dans le bus : une fille black s'est fait « emmerder » par le chauffeur, alors qu'elle avait payé son ticket. Les Noirs étaient de son côté.

« Les autres se sont révoltés en se mettant à hurler : “Bande de sales Noirs, laissez-nous partir en week-end.” C'était le retour à la ségrégation. »

Le bonheur, ce sera au soleil de Guinée

Ces deux-là ne portent pas de talons hauts et n'ont pas « un grain » dans la tête, comme le décrivait Claire. Amina ne sait pas qui est responsable de cette situation : les parents, la société, les médias... Mais elles se font une raison.

« On encaisse, on vit avec. Du moment qu'ils nous crachent pas dessus, ils peuvent avoir des opinions. Mais ce qu'ils ne supportent pas, c'est qu'on ne se laisse pas faire, qu'on ne baisse pas les yeux. On aurait des copains sur place, je pense qu'ils rigoleraient moins.

Quand on va voir les CPE [conseillers principaux d'éducation, ndlr] pour dire qu'on est persécutées, elles nous répondent qu'on a une part de responsabilité. [...]

C'est vrai qu'on a un esprit africain, on aime rigoler et être ensemble, mais on a aussi des camarades blanches et on ne rejette personne. »

Elles les appellent quand même les « petits campagnards », ce qui est à la fois méprisant et affectueux.

Amina aimerait être considérée comme une Française. « On me demande toujours de quel pays d'Afrique je viens. »

Et en même temps, elle sait déjà que la France ne va pas la rendre heureuse. Ses parents, qui s'occupent d'une famille nombreuse, ne travaillent pas. Son futur métier ne lui plaît pas, d'avance.

Amina n'a jamais été en Guinée, mais c'est dans ce pays qu'elle se voit souffler, et tourner son visage vers le soleil.

« Y a pas moyen. Je finirai mes jours là-bas. »

« Les agriculteurs ont changé »

Qui sont ces ados xénophobes ? Fils d'agriculteurs, Thomas et Martin, ne se sentent pas du tout concernés. Ils sont eux très à gauche, pas racistes du tout.

Martin a des parents dans l'agriculture bio, séduits par Mélenchon. C'est l'intello de sa bande. L'année dernière, il était dans une classe qui comptait beaucoup de racistes. Il ne les aimait pas. Il s'en est rendu malade (fièvre chronique).

A 19 ans, Thomas ne cesse de répéter que son père, sans héritage, a dû « démarrer son exploitation de rien ». Dix ans de sacrifice. C'est peut-être ce qui explique la différence de mentalité entre lui et ces camarades :

« [Les autres fils d'agriculteurs], ils ont déjà tout le matériel, toute la terre. Il n'ont pas besoin de travailler autant. Ils ont tout dans les mains. Ils ne voient plus les choses comme il y a vingt ans. Ils n'ont plus les mêmes valeurs de travail, de partage, de terre. Ils voient juste le bout de leur nez. »

« Ça dérape sur le fait qu'il y a trop de Noirs »

Fred a des yeux bleus ahurissants (ceux de sa mère). Il est moins tranché politiquement que Thomas et Martin. Lui vient du Nord de la France, il n'est pas fils d'agriculteurs. Il est en filière technologique « aménagement du territoire ». Il raconte :

« Les gens de ma classe trouvent qu'il y a trop d'immigrés et qu'il vaut mieux que chacun soit chez soi. En cours d'éducation socio-culturelle, on parle de la culture française, et tout de suite ça dérape sur le fait qu'il y a trop de Noirs. »


Quand on lui demande pourquoi il ne s'indigne pas, il hausse les épaules.

« Moi, je m'entends bien avec tout le monde dans ma classe. »

C'est le lendemain, quand la classe de Fred sort de cours, qu'on tombe enfin sur l'un d'eux. L'un des « leaders », très imposant, avec des cheveux laqués, et des tâches blanches sur les dents qui lui donnent l'air d'un enfant.

Marine Le Pen peut-elle faire quelque chose contre les étrangers en France ? Il répond : « Non, c'est trop tard, elle peut rien faire, il y en a trop. » Puis il s'en va, fier de lui. C'est tout. L'autre grand chef de bande, aux pics de cheveux blonds, voudrait bien nous parler, mais sa petite copine autoritaire le lui interdit.

vendredi 24 février 2012

[DERNIÈRE MINUTE] Les "Sunday Party" annulées

Pour des raisons familiales LE KZEN BAR ne pourra plus accueillir "les sunday party" du dimanche. Nous travaillons dès à présent sur un nouvel endroit aussi chic et classe.

Vous serrez très vite informé de la prochaine inauguration qui ne tardera pas..merci à tous de votre participation active à cet évènement et nous nous donnons rdv très vite pour la prochaine...SUNDAY PARTY.

Toutes nos excuses.. Richard coeur de Lyon et tata léo A votre service ...

jeudi 23 février 2012

[AMBIANCE] Richard et Tata Léo présentent les "Sunday party" à partir de dimanche 26 février

Cliquez sur l'image pour en savoir plus

[COTE D'IVOIRE LYON] AG du RHDP Rhône Alpes dimanche 26 février à Lyon

Le Rassemblement des Houphouetistes pour la Démocratie de la Paix (RHDP) parti du Président Ouattara organise une assemblée générale dimanche 26 février 2012 à 14h

Ordre du jour :
-Féliciter les militants pour leur détermination et leur courage
-Préparatif de l'organisation de la fête de la victoire du Président Ouattara
-Infos et divers

Lieu Hôtel Mercure
Place Charles Hernu 69100 Villeurbanne
MMES GUEI HENRIETTE ET MOTHIAN MABA AU 0619145593 /0650215465

mardi 21 février 2012

[SENEGAL LYON] Émission spéciale présidentielle dimanche 26 fév à AKODY Radio Pluriel

Une émission "Spéciale Présidentielles 2012" aura lieu Dimanche 26 février 2012 de 20h à minuit sur Radio Pluriel 91.5 FM Lyon

www.radiopluriel.frLien

samedi 18 février 2012

[BURKINA LYON] Dons de l'ABL au pays

L’Association des Burkinabé de Lyon (ABL) a effectué au mois de janvier 2012, deux remises de dons au profit de :

·l'Association des Enseignants de Sciences Physiques du Burkina Faso (AESPB) : postes informatiques (ordinateurs) et matériel expérimental de sciences physiques à destination des lycées (valeur estimée à 5 000 €).

·l'Hôtel Maternel de Ouagadougou : vivres et médicaments de première nécessité pour un Centre accueillant des enfants et des femmes en difficulté (valeur 400 €).

Ces actions importantes ont été possibles grâce aux partenaires :
Le Grand Lyon, les Mairies de Lyon et de Ouagadougou, la Direction Départementale de la Protection des Populations de Bourg-en-Bresse et Lyon solidarité.

mercredi 15 février 2012

[POLITIQUE] "On est chez nous !" l'appel revendicatif à signer

Nous, qui sommes des enfants héritiers de l’immigration, demandons : Combien de fois faudra-t-il le crier ? Combien de fois faudra-t-il le répéter ? Nous sommes Français !

Nous sommes Français au même titre que n’importe quel Français, et c’est la République et ses lois qui l’affirment. Un français en vaut un autre, et ce n’est pas le nombre de générations nées sur le sol national qui y change quoi que ce soit. Nous ne pouvons plus supporter que certains représentants de cette République nous attaquent, nous réduisent, nous humilient, nous montrent du doigt… Nous sommes blancs, bronzés, noirs ou bridés, nous avons mille visages, mille personnalités, mille histoires, comme tous les autres Français.

Comment accepter que les ministres de cette république laïque refusent de comprendre que la religion est un choix, non une naissance ou une couleur de peau, que la religion est affaire privée et non publique… Nous sommes Français, certains d’entre nous sont athées, d’autres sont agnostiques, d’autres sont musulmans, d’autres sont juifs, d’autres chrétiens, d’autres taoïstes, d’autres bouddhistes, et ces croyances ne sont pas écrites sur nos visages, elles sont le produit de nos choix. Ces croyances se valent et elles doivent toutes être respectées.

Nous sommes issus de la même civilisation que ceux qui nous gouvernent, nous sommes citoyens de la même République et nous devons regarder en face notre histoire comme tous les Français.

Elle est parfois exemplaire et parfois honteuse, notre civilisation.

Elle a esclavagé, colonisé, elle a déporté, elle a assassiné, elle a été barbare, mais elle a aussi été à l’origine de concepts universels de grande beauté, comme les droits de l’homme. Notre civilisation, elle n’est ni plus belle, ni plus pure que les autres.

Nous les enfants de l’immigration, Français parmi les Français, nous sommes aussi riches des civilisations dont sont issus nos parents. Des civilisations elles aussi complexes, belles et honteuses, glorieuses et violentes, ni plus pures, ni plus belles….

Lire la suite et signer l'appel
http://www.onestcheznous.fr/

mardi 14 février 2012

[JUSTICE] Accusé d'agression sexuelle. Koffi Olomidé interpellé à Roissy (cameroonvoice.com)

La juge d’instruction va enfin pouvoir poursuivre ses auditions dans l’affaire qui oppose Koffi Olomide à ses anciennes danseuses. En effet, dimanche 12 février 2012, le chanteur congolais avait atterri à Roissy Charles De Gaulleen provenance de Kinshasa ou il était s’était réfugié depuis la plainte pour viol et séquestration déposée par trois de ses danseuses et instruite par un juge parisien.

Nous avions annoncé que le retour de papa bonheur était plus qu’imminent. Depuis sa fuite en RDC, Koffi Olomide avait sollicité l’aide d’un ténor du barreau parisien pour l’aider à faire face à cette affaire dans laquelle, il a toujours plaidé son innocence. Par la voix de son avocat et député UMP Manuel Aeschlimann (dont un des enfants a pour parrain un certain… Nicolas Sarkozy) la star espère sortir libre de cette sombre affaire.

Rappelons que Mr Olomide s’était soustrait à la justice française depuis bientôt une année et qu’il aura fallu plusieurs entretiens et voyages de son conseil pour qu’il accepter de se livrer à la justice du pays dont il a la nationalité.

Arrivée dimanche à 7h15, Koffi Olomide a été interpellé par la police des frontières qui l’a ensuite remis aux agents de la police judiciaire. Après une nuit en garde à vue, il a été auditionné par la juge d’instruction qui devra statut sur la mise en détention ou non du leader du groupe Quartier Latin.

Va-t-il bénéficier de la clémence de la juge du fait de son retour et sa volonté manifeste de répondre finalement aux accusations dont il se dit victime ?

Nous aurons la décision dans les jours à venir.

dimanche 12 février 2012

[VOYAGE] Promotion Brussels Airlines COTONOU 668e LOME 685e jusqu'au 29 février

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Au départ de Lyon, Paris, Marseille, Toulouse, Strasbourg et Nice

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Période de départ: du 1er Avril au 28 Juin
Dernier retour: 6 Juillet

Minimum de séjour: 7 jours
Maximum de séjour: 1 mois

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[JOURNÉE DE LA FEMME] Soirée "Ensemble pour l'égalité" le 8 mars à Lyon

La Région Rhône-Alpes & Le Club Rhône-Alpes Diversité vous invitent le 8 mars à la soirée "Ensemble pour l'égalité"

Cliquez sur l'image pour en savoir plus

Inscription : contact@rhonealpes-diversite.fr

[VOYAGE] Promotion Brussels Airlines CONAKRY à 653 euros jusqu'au 29 février

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jeudi 9 février 2012

[JUSTICE] Propos de Guerlain sur les nègres : «j'ai dit une imbécillité» (Le Parisien)

Seize mois après la polémique suscitée par ses propos sur les «nègres» et les menaces de boycott des parfums Guerlain, Jean-Paul Guerlain, descendant du fondateur de la célèbre maison, a regretté jeudi devant le tribunal correctionnel de Paris avoir commis cette «imbécillité».

«J'ai dit une imbécillité», a expliqué jeudi M.
Guerlain, connu pour avoir lancé une quarantaine de parfums, tous plus connus les uns que les autres : de Vétiver à Habit rouge, en passant par Chant d'arômes, Samsara ou Jardins de Bagatelle. Face à l'ancien «nez», toute une ribambelle de représentants d'associations de lutte contre le racisme (Licra, Mrap, SOS Racisme, Noir et Fier...) qui lui reprochent une injure à caractère raciale. Le prévenu encourt six mois de prison et 22 500 euros d'amende.

«Une phrase que j'ai entendue toute ma jeunesse»

Interrogé dans un journal télévisé de France 2, le 15 octobre 2010, sur la création du parfum Samsara, le septuagénaire avait répondu : «Pour une fois, je me suis mis à travailler comme un nègre. Je ne sais pas si les nègres ont toujours tellement travaillé, mais enfin...». Un déluge de protestations et d'appels au boycott des produits Guerlain avait suivi, en dépit des excuses présentées par Jean-Paul Guerlain.

« La première partie de ma phrase est une phrase que j'ai entendue toute ma jeunesse quand je travaillais dans le jardin de mon grand-père. Je suis d'une autre génération », s'est justifié jeudi M. Guerlain, appuyé sur deux béquilles. C'était « une expression courante à l'époque ». « Quant à l'autre phrase, c'est une imbécillité de ma part, j'ai voulu faire rigoler la journaliste et je le regrette», a poursuivi le parfumeur de 75 ans, vêtu d'un de ses indéfectibles complets trois pièces.

«Je ne me sens pas du tout coupable»

« Je regrette très profondément et je présente toutes mes excuses à la communauté noire pour cette imbécillité », a-t-il répété à plusieurs reprises. « Je suis tout sauf raciste... J'ai été élevé dans une famille qui n'était absolument pas raciste », a encore martelé Jean-Paul Guerlain, racontant ses premières rencontres avec les Noirs américains qui, à la Libération, « m'ont fait découvrir le chewing-gum et le Coca-Cola ».

« Je ne me sens pas du tout coupable car je n'ai jamais été raciste, bien au contraire. Je passais la moitié de mon temps en Côte d'Ivoire, au Sénégal et en Haute-Volta (ex-colonie d'Afrique occidentale française), en Guinée-Bissau » pour prélever la matière première nécessaire aux parfums.

Retraité depuis 2002, M. Guerlain était, jusqu'en octobre 2010, resté consultant auprès du «nez» de la maison, Thierry Wasser. Mais l'entreprise a cessé toute collaboration quelques jours après ses propos sur les «nègres». A l'issue de l'audience, le tribunal devait mettre sa décision en délibéré.

[CAMEROUN LYON] Soirée Culturelle Dansante samedi 11 février à Lyon

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mardi 7 février 2012

[TCHAD LYON] Une nouvelle association est née

Une association nous est née.
ACTRA la connait.
ACTRA t’en a parlé en bref !
Veux-tu en savoir plus ?
Connaître davantage sa mission ?
Ses objectifs ? Ses partenaires ?
Veux-tu interagir avec elle ?
Etre une force de proposition, de REX ? Etre membre ou simple sympathisant ?Rendez-vous le 12/02/2012 à 12h30 autour d’un repas de lancement de ses activités. Pour 10 euros (repas et conso) tu contribues déjà à atteindre le minimum qu’il lui faut Les boissons en vente sont à un prix raisonnable : 1 euro !
Elle, c’est APPE comme Association des Professionnels pour la Petite Enfance.

Adresse : 41 rue Maryse Bastié 69008 Lyon. Accès Tram T2 arrêt Maryse Bastié


Toussaint Ben HALTHODJIM
06 13 22 27 55

[NIGER LYON] Le Président Issoufou Mahamadou à Lyon le mercredi 8 février

La Conférence des Nations unies sur le Développement durable de Rio+20 a pour objectif, le renouvellement de l’engagement politique en faveur du développement durable ; l’examen des progrès
réalisés et des lacunes restant à combler ainsi que l’analyse des problèmes nouveaux et émergents.

La Francophonie mobilisée dès 1992 pour le premier Sommet de la Terre, puis Johannesburg en 2002, réaffirme son plein attachement au développement durable et son engagement résolu pour la réussite de Rio+20. Pour préparer la communauté francophone et ses membres à ce grand rendez-vous, l’Organisation internationale de la Francophonie tient, du 8 au 9 février 2012 à Lyon (France), un forum préparatoire.

À l’invitation de M. Gérard Collomb, Sénateur-Maire de Lyon, Président du Grand Lyon et sous la présidence de SEM. Abdou Diouf, Secrétaire général de la Francophonie, le Forum francophone préparatoire à Rio+20 se tiendra en présence de SEM Denis Sassou Nguesso, Président de la République du Congo, SEM. Issoufou Mahamadou, Président de la République du Niger, M. Jean-Pierre Raffarin, Représentant personnel du Président de la République française au Conseil Permanent de la Francophonie M. Brice Lalonde, Ancien ministre, coordonnateur exécutif de la Conférence des Nations unies sur le développement durable. Ce forum mobilisera également d’autres personnalités internationales, régionales et locales ainsi que de nombreux experts, acteurs institutionnels, universitaires et chercheurs, membres de la société civile et du monde de l’entreprise représentatifs de la diversité de l’espace francophone.

samedi 4 février 2012

[CONGO LYON] Le Président Sassou NGuesso à Lyon le mercredi 8 février

La Conférence des Nations unies sur le Développement durable de Rio+20 a pour objectif, le renouvellement de l’engagement politique en faveur du développement durable ; l’examen des progrès
réalisés et des lacunes restant à combler ainsi que l’analyse des problèmes nouveaux et émergents.

La Francophonie mobilisée dès 1992 pour le premier Sommet de la Terre, puis Johannesburg en 2002, réaffirme son plein attachement au développement durable et son engagement résolu pour la réussite de Rio+20. Pour préparer la communauté francophone et ses membres à ce grand rendez-vous, l’Organisation internationale de la Francophonie tient, du 8 au 9 février 2012 à Lyon (France), un forum préparatoire.

À l’invitation de M. Gérard Collomb, Sénateur-Maire de Lyon, Président du Grand Lyon et sous la présidence de SEM. Abdou Diouf, Secrétaire général de la Francophonie, le Forum francophone préparatoire à Rio+20 se tiendra en présence de SEM Denis Sassou Nguesso, Président de la République du Congo, SEM. Issoufou Mahamadou, Président de la République du Niger, M. Jean-Pierre Raffarin, Représentant personnel du Président de la République française au Conseil Permanent de la Francophonie M. Brice Lalonde, Ancien ministre, coordonnateur exécutif de la Conférence des Nations unies sur le développement durable. Ce forum mobilisera également d’autres personnalités internationales, régionales et locales ainsi que de nombreux experts, acteurs institutionnels, universitaires et chercheurs, membres de la société civile et du monde de l’entreprise représentatifs de la diversité de l’espace francophone.

[COTE D'IVOIRE LYON] Le FPI et la LMP présentent leurs voeux 2012 samedi 4 février

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jeudi 2 février 2012

[SOCIÉTÉ] "Qui gardera nos enfants ?" Femmes noires au service de familles blanches (Le Monde)

Une poignée de femmes noires, dans un square, serrées à trois ou quatre par banc, surveillent des enfants blancs. Personne ne les remarque, la scène est, à Paris, d'une absolue banalité. Caroline Ibos, elle, a pris le temps de les voir. Cette enseignante en sociologie politique à l'université Rennes-II a mené une enquête inédite sur les nounous africaines qui viennent garder à domicile les enfants des couples bi-actifs parisiens. Durant trois ans, fréquentant jour après jour le même square, elle a gagné la confiance d'une douzaine de femmes ivoiriennes qui se sont confiées, puis elle est passée de l'autre côté du miroir, rencontrant quelques dizaines d'employeurs français.

Son livre, Qui gardera nos enfants ? (Flammarion), sort le 8 février. Passionnant. Révélateur d'un état de la société française – inégalité des sexes dans la sphère domestique, étanchéité des classes sociales, persistances de préjugés raciaux... Et sans doute un rien perturbant pour les parents puisque ces nounous introduites dans l'intimité des foyers se sont transformées à cette occasion en ethnologues des familles françaises.

UNE "CONFIANCE FONDÉE SUR RIEN"

Tout commence par un recrutement qui tient du cérémonial. C'est en général un samedi après-midi, l'appartement est bien rangé, le ou les enfant(s) à garder et leurs parents sont installés au salon, dans une mise en scène de la famille idéale. La postulante est d'abord jugée sur sa ponctualité et sa capacité à trouver le domicile. Puis la future employeuse dirige l'entretien, le père allant et venant le plus souvent.

Ce qui frappe Caroline Ibos, c'est la "confiance fondée sur rien". Des femmes diplômées censées être rationnelles confient "ce qu'elles ont de plus cher" (et les clés de l'appartement) à une quasi inconnue, dont elles vérifient rarement les références, le titre de séjour si elles sont étrangères ou le niveau d'études. Le fait qu'elles soient mères compte davantage : c'est sur une capacité d'amour intuitivement perçue qu'elles recrutent. Sur l'intérêt porté à l'enfant, sur une gaieté, une douceur, un corps de nourrice...

Autant de stéréotypes attachés aux mères dont ces femmes actives tentent justement de s'affranchir pour elles-mêmes ! Autre surprise, pour la chercheuse : des personnes éduquées, non racistes, s'approprient à cette occasion une vulgate raciste qui circule oralement au sujet des nounous. "Les Africaines sont maternelles mais peu portées sur les tâches ménagères", "Les Asiatiques sont propres mais froides"... Il est vrai que saisir une personne à partir de stéréotypes "permet implicitement de justifier sa subordination sociale", analyse Caroline Ibos.

L'INCONFORT DES EMPLOYEUSES

Dans les faits, nous explique-t-elle, la relation employeur/domestique se résume à une relation asymétrique et difficile entre deux femmes. Très vite, le père s'éclipse, pour ne réapparaître le cas échéant qu'au moment du licenciement. Or il s'avère bien compliqué d'être employeuse à l'intérieur de sa propre maison. D'avoir une domestique, sans forcément disposer des codes de la grande bourgeoisie. Les employeuses ressentent un certain inconfort : elles se rendent compte de leur pouvoir quasiment sans limites, si ce n'est celles que leur impose leur propre sens moral. "Elles savent qu'elles en demandent trop, résume Mme Ibos, mais la nounou leur permet de réaliser leur rêve de réussite familiale et sociale."

Corvéables à merci, les nounous ont le sentiment de n'avoir jamais de répit, de recommencer éternellement les mêmes tâches fastidieuses. Avec le temps, se rajoutent tout un tas de petites missions ("Vous passerez au pressing ?", "Vous rapporterez le pain ?"). Elles ont été embauchées pour s'occuper des enfants, mais, peu à peu, l'ordre des priorités s'inverse. Ce qui compte, c'est que l'appartement soit bien rangé le soir. D'où leur impression d'être femmes de ménage avec enfants à charge, un brin méprisées. Pas de discussion, par exemple, sur l'éducation des enfants, elles se contenteront d'appliquer les consignes.

"UNE BONNE NOUNOU NE FAIT PAS ÇA POUR L'ARGENT"

D'où aussi une fréquente dégradation des relations employeur-employé. Tant que l'enfant est bébé, la nounou a du temps pour nettoyer et ranger. Mais quand il commence à marcher, elle joue avec lui. La mère comprend, bien sûr, mais une insatisfaction s'installe. Et quand la relation s'envenime, les nounous mettent la pédale douce sur le ménage. Elles l'ont avoué à Caroline Ibos, c'est là leur vengeance politique. Pourquoi, d'ailleurs, se donner tant de mal pour un travail qui n'est "pas reconnu comme un vrai travail" ? "Pour la patronne, disent-elles, c'est comme si c'était un plaisir de s'occuper de ses enfants..."

Il y a du vrai dans leurs propos. Les employeuses entendues par Caroline Ibos estiment souvent que cette mission, certes mal payée, précaire, ingrate, relève de la vocation naturelle pour une mère. "Ce qui apaise leur conscience. Elles disent souvent : "Une bonne nounou, c'est une nounou qui ne fait pas ce travail que pour l'argent." Malentendu fondamental ! Elle est là pour gagner sa vie, même si elle fait preuve de sollicitude et d'affection envers les enfants." Au parc, les nounous lui ont confié qu'elles aimaient les enfants dont elles s'occupaient, mais aussi qu'elles les oubliaient très vite une fois parties.

DÉPLACER LES CONFLITS DU COUPLE

Le regard qu'elles portent sur eux, empreint lui aussi de stéréotypes, n'est pas toujours tendre. Elles les voient trop gâtés, mal élevés. Avec des parents qui seraient soumis aux caprices, craignant sans cesse de les voir perdre leur temps, ne leur transmettant pas de valeurs morales, les incitant à être dans l'égoïsme et la domination, trop précocement attachés à l'argent. "La patronne a tellement peur de ses enfants que quand elle fait une chose qui ne plaît pas, elle dit que c'est moi ! Elle dit : "Les enfants, Aurore veut que vous mangiez des carottes !"", lit-on dans l'enquête. Mais Caroline Ibos souligne aussi que les nounous s'inspirent finalement beaucoup de cette éducation pour leurs propres enfants, comme si elles intériorisaient un modèle de réussite à la française.

Aux yeux des nourrices, le couple et la famille française ne fonctionnent pas très bien. Elles n'envient guère ces femmes qui les emploient. "Ma patronne, elle a une belle maison mais elle est malheureuse." Leur vie est dure, elles travaillent tout le temps, sont stressées, ne savent pas se détendre. "La figure de la nounou éclaire les relations restées inégales entre sexe autour des questions domestique et familiale. Les femmes fuient l'humiliation en humiliant une tierce personne", pose l'universitaire. Au lieu d'affronter d'épuisants et humiliants conflits avec leur compagnon, les employeuses se déchargent sur elles. Les chemises ne sont pas repassées ? "La nounou ne fait plus rien..."

UNE CONFRONTATION DE CLASSE

Femmes noires au service de familles blanches, effectuant des tâches dévaluées, la situation de ces employées parle aussi du fossé entre les "races", à en croire Mme Ibos. L'une voit sa patronne comme toute-puissante et riche, l'autre demeure sous l'influence de préjugés. Ce que les parents n'imaginent pas, c'est la rancoeur, profonde et douloureuse, vis-à-vis de la colonisation, chez ces migrantes qui arrivent d'une ancienne colonie française. Elles disent : "Je fais l'Antillaise", avec ce sentiment que se perpétue la domination coloniale.

Mais ce que le livre de Caroline Ibos raconte peut-être le mieux, c'est la confrontation, en appartement, de classes sociales distinctes. Situation exceptionnelle dans la société française, où ces deux bouts de l'échelle sociale se croisent parfois mais ne se côtoient pas. "Pour les employeuses, être confrontées à la faiblesse de l'autre est une souffrance. Les signes de pauvreté gênent – le manteau moche dans l'entrée, les sandales portées pieds nus l'hiver... Ils sont le rappel de ce qu'elles ont envie d'oublier, de tout ce dont elles ne peuvent se sentir totalement irresponsables." De ce contre quoi est construit l'appartement familial, havre de paix dans un monde violent.

Avec la nounou, la bulle protectrice éclate. Arrivent le politique, la misère du monde. Au final, cette proximité des classes ne les rapproche pas, constate, pessimiste, Mme Ibos. "L'employeuse fait bien de petits cadeaux compassionnels, mais réserve sa pitié à des causes ou des victimes bien plus éloignées d'elle. Entre les deux femmes, aucune vraie relation ne se tisse." Paradoxalement, comprend-on, cette confrontation de classes est moins douloureuse côté nounous. Elles ne la vivent pas entièrement comme une humiliation parce qu'elles ne sont pas réduites à leur condition de domestique. Elles sont aussi autre chose. En Afrique, elles ont un lieu de réussite. Elles pourront se faire construire une maison.

[ECONOMIE] Camair-co inaugure le Yaoundé – Lyon – Douala (air-journal.fr)

La toute jeune compagnie aérienne camerounaise Camair-co inaugure ce 1er février 2012 sa première liaison vers la province française, un Yaoundé – Lyon – Douala opéré trois fois par semaine.

Lancée il y a dix mois à peine, la compagnie relie désormais Yaoundé à Lyon les mercredi, vendredi et dimanche (départ 0h50, arrivée 7h50), les vols retour quittant l’aéroport Saint – Exupéry à 10h00 pour arriver à Douala à 16h30, d’où deux rotations vers Yaoundé sont disponibles (à 17h40 mercredi et vendredi, 23h15 mercredi et dimanche). La route triangulaire est opérée en Boeing 737-700 accueillant 12 passagers en classe Affaires et 116 en Economie.

Rappelons que Camair-co propose déjà deux vols directs entre Douala et Paris – CDG par semaine, plus deux autres avec escale à l’aller à Yaoundé, à bord de 767-300ER (30 places en Affaires, 180 en Economie). .

Créée en 2006 par décret présidentiel suite à la disparition deux ans plus tôt de Camair, la Camair-Co a effectué son premier vol officiel le 28 mars 2011, et dessert depuis Douala trois aéroports domestiques (Yaoundé donc, Maroua et Garoua) plus Bangui, Brazzaville, Cotonou, Kinshasa, Libreville, Malabo et N’Djamena.