Le fondateur du Cran a été contacté via des mouvements de droits civiques américains avec lesquels il est en relation, et qui cherchent en ce moment à tisser autour de la victime présumé un "réseau de soutien".
Tout en précisant au Figaro.fr qu'on ne lui a pas demandé de "salir" la réputation de DSK, Patrick Lozès se déclare prêt à agir si, a contrario, la réputation de la jeune femme de chambre était trop "salie" par les avocats de l'ancien patron du FMI.
Pour l'heure, il est en attente d'éléments de la part de la défense de la victime présumée, qui prouveraient que les avocats de DSK tentent de travestir la vérité. S'il est convaincu par ces éléments, Patrick Lozès se dit prêt, sans plus de précisions, à "activer ses réseaux français et internationaux" pour "aider à la manifestation de la vérité".

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