Cette dernière, rappelle le quotidien, "a octroyé au Togo une subvention de 9 millions d’euros destinée à permettre aux autorités togolaises d’organiser «des élections présidentielles libres, équitables, transparentes et paisibles»".
Election à haut risque
"Nous comptons sur l’ensemble des parties pour faire de ce scrutin un moment d’expression démocratique et pacifique, ouvert à la presse et aux observateurs internationaux", déclare par ailleurs le ministère français des Affaires étrangères sur son site Internet.
Au Togo, le président sortant Faure Gnassingbé a de nouveau appelé hier les Togolais à ne pas contester les résultats du scrutin à venir, rapportent les médias locaux. En avril 2005, son élection contestée avait été suivie d’un bain de sang qui avait fait 400 à 500 morts selon l’ONU.
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