Le déroulement des faits Le déroulement des faits qui ont entraîné la mort de Michaël Blaise, décrit hier par le procureur adjoint, dément formellement la première version du magasin.
« Les faits sont choquants, mourir pour une canette n'est pas acceptable ».
Les trois agents et le responsable de la sécurité du magasin carrefour de Lyon Part-Dieu, mis en examen pour « violences volontaires en réunion ayant entraîné la mort sans intention de la donner », ont été écroués hier soir.
Hier après-midi, lors d'une conférence de presse au palais de justice de Lyon, le procureur adjoint Jean-Pierre Dages-Desgranges a donné une description accablante des images enregistrées dans la salle de contrôle de la grande surface, lundi en fin d'après-midi. « Toutes les personnes qui ont vu cette cassette sont fortement choquées. On y assiste à la mort en direct de Michaël Blaise ».
C'est au vu de ces images particulièrement violentes que le parquet a requis un mandat de dépôt à l'encontre des trois vigiles et de leur chef de service.
« Le comportement de Michaël Blaise ne justifiait pas de telles violences », a souligné avec insistance le procureur adjoint. La scène qui s'est déroulée lundi en fin d'après-midi dans la salle de contrôle de Carrefour, et dont Jean-Pierre Dages-Desgranges a décrit le déroulement tragique, contredit la version initialement communiquée par Carrefour.
Mardi, par la voix de son agence de communication, la direction avait indiqué que le jeune homme semblait sous l'emprise de l'alcool, qu'il était violent et que les agents de sécurité étaient intervenus avec « professionnalisme ». Or les analyses ont révélé que Michaël Blaise n'avait consommé ni alcool, ni psychotropes. Quant aux enregistrements vidéo et sonore, ils montrent un jeune homme qui « reste tranquille ». À son arrivée dans la salle de contrôle, les vigiles lui ordonnent de s'asseoir sur un banc, ce qu'il fait. Un premier agent l'interpelle sur un incident, le 23 décembre, au cours duquel il aurait tenté de voler de l'argent dans une caisse. Il se lève, proteste et un second agent lui fait le même reproche que son collègue, avant de l'empoigner « assez violemment » par le cou. C'est alors qu'avec ses collègues, « ils le projettent sur la table, la tête en dehors ».
Ils lui appuient ensuite sur le dos et « un autre rabat sa capuche pour lui appuyer sur la tête ». Ce geste a pour conséquence de lui bloquer le cou contre l'angle de la table, provoquant un écrasement des voies respiratoire qui, ajouté à la compression thoracique, sera fatal.
« Au début, il gesticule un peu, les cris s'estompent, on entend des espèces de râles et plus rien », a indiqué le vice-procureur, « mais quand il est inerte, la pression ne s'arrête pas autant ». Il va en effet s'écouler six minutes entre le moment où Michaël Blaise perd connaissance et celui où les vigiles vont enfin relâcher leur pression. Mais il est trop tard, le jeune homme, dans un coma irréversible, « a pratiquement cessé de vivre ».
Qui a fait quoi, des trois vigiles et du responsable sécurité ? « Les reproches sont identiques, il y a co-action, chacun tient une partie du corps », a indiqué le vice-procureur.
Pour Jean-Marc Assaël, directeur des magasins Carrefour du Rhône, qui a tenu un bref point de presse, « les vidéos durent trois quarts d'heure, l'instruction va les analyser ». Ne s'exprimant pas sur les faits, il a simplement indiqué que les personnels mis en cause avaient tous reçu une formation professionnelle.
Famille du jeune rendez vous ici pour des infos sur les lois.
RépondreSupprimerhttp://franckbasanesefranck1974.spaces.live.com/guestbook/?dir=Next&pHandle=3478A75A0BCEFD61!7278
bonjour à tous j' invite la famille à consulter les informations que je vous donne .
Dans un premier temps les Agents des sociétés comme carrefour et autres ne respectent pas la réglementation et ne déclare pas leurs Agent en préfecture comme les lois l' imposent donc faire les vérifications d' autre part un casier vierges des Agents ne veut rien dire puisque seulement le numéro 3 est demandé ce qui veut dire que sur les quatres Agents sont-il déja connus des services de polices pour des mises en causes ultérieurs à vérifier .
casier 2 administratifs qui peut être connus des services de polices
casier numéros 1 qui peut être vierge malgrés des condamnations .
donc il faut faire vérifier les fichiers polices par le procureur demandé à la famille une enquête dans se sens et faire vérifier aussi les fichier judex et stic police vous aurez des réponse donc si vous connaissez la famille merci de signaler ce que je vous dis.
http://www.rhone-alpes.pref.gouv.fr/
Démarches diverses
Sécurité privée
http://www.rhone.pref.gouv.fr/web/111-securite-privee.php
Préfecture du Rhône
Direction de la réglementation
Bureau de la réglementation générale
106 rue Pierre Corneille
69419 Lyon cedex 03
franck
Autre chose les pré-vols sont bien couvent inexpérimenté sans diplômes ni qualifications ni immatriculation en préfectures.
RépondreSupprimerUn pré-vol ,
n' est pas Agent de sécurité préfecture si il ne possèdes les diplômes reconnus.
détention d'un titre de certification professionnelle enregistrée au Répertoire national des certifications professionnelles se rapportant à leur activité ; à toutes fins utiles, je vous invite à consulter le site de la Commission Nationale de la Certification Professionnelle - www.cncp.gouv.fr.
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