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mercredi 5 janvier 2011

[CIV ELECTIONS] Sit in pro Ouattara dimanche 9 janvier à Lyon

Le RHDP Rhône Alpes (Rassemblement des Houphouetistes pour la Démocratie et la Paix) organise un sit in ce dimanche 9 janvier 2011 de 15h à 17h à la place Bellecour à Lyon en soutien à Alassane Ouattara

1 commentaire:

  1. Ma Proposition de Sortie de Crise Postélectorale en Côte d’Ivoire.


    Depuis la proclamation des résultats présidentielles en Côte d’Ivoire, nous assistons à une crise profonde caractérisée par le cantonnement du Président Henri Konan BEDIE et de son Epouse, du candidat du RDR et de son Epouse, des membres du gouvernement de Alassane OUATTARA et de ses conseillers, des Maires, une frange des soldats des FN, des casques bleus de l’ONU, de la Force LICORNE et des milliers d’ivoiriens à l’Hôtel du Golf où sont également stationnés des chars en prévision de tout débordement.

    De l’histoire de la Côte d’Ivoire malgré celle de 2002 qui a failli basculer notre pays dans une guerre civile plus grave et plus longue que celle qu’il a connu, une incertitude aussi regrettable n’a été vécue par les ivoiriens qui ne demandent qu’à vaquer à leurs occupations, gage de prospérité et de cohésion sociale.

    Notre pays qui regorge beaucoup de talents, filles comme garçons, papi comme mamie, a les capacités à travers ces talents de trouver, sans avoir à solliciter la communauté internationale dans le cadre de la résolution de ses problèmes.
    Certes, nous ne pourrons pas vivre en étant couper du monde contemporain, le monde avec ses changements plus ou moins obligatoires pour le progrès.
    Il est de notre devoir de faire l’analyse de ce qui nous oppose aux autres, discernement qui doit être le fil conducteur de nos actions à mener pour le bien être de notre peuple.

    La Côte d’Ivoire, notre cher pays jadis envié pour la paix et le dialogue qui y régnaient est aujourd’hui au banc des pays où sévit la chasse à l’homme.
    Cette chasse à l’homme est la résultante d’une fin de guerre qui nous a été imposée par les Nations Unis alors que notre pays restait coupé en deux.
    Cette institution a failli à ses obligations ; sa présence à nos côtés dans le cadre des résolutions prises pour la sortie de la crise dans notre pays ne nous a pas été utile.

    De cette présence depuis 2003 en Côte d’Ivoire, un constat révélateur indique l’immobiliste de cette institution censée apporter des solutions aux difficultés que rencontrent les populations des pays en guerre.

    La situation délétère que nous vivons, provoquée par l’insouciance d’un individu, fonctionnaire de son état et Représentant de l’ONU en Côte d’Ivoire en la Personne de Monsieur CHOÏ, m’emmène à soumettre aux démocrates que nous sommes, l’importance de sa présence encore en Côte d’Ivoire.
    J’ose espérer que son départ de la CI en remplacement d’un autre Représentant que voudra bien faire venir Le Secrétaire Général en CI permettra de détendre la situation.
    Son maintien et sa présence encore en terre ivoirienne est source de tension.
    Ce constat succinct n’engage que ma modeste personne.

    Chaque jour que Dieu fait, les nouvelles qui nous parviennent à travers les parents s’ils ne sont pas encore morts, les médias d’information, prédisent une guerre civile en Côte d’Ivoire, guerre susceptible d’entraîner les pays voisins dont certains ressortissants partagent l’angoisse des ivoiriens.

    Laurent GBAGBO qui a été proclamé vainqueur des élections par le Conseil Constitutionnel et Alassane OUTTARA dont l’élection a été certifiée par la Commission Electorale Indépendance pour lequel toute la communauté internationale réclame la prise de pouvoir effective sont appelés à travailler ensemble quoiqu’il arrive pour le bonheur, la paix et la protection des richesses de leur pays.

    Au peuple de Côte d’Ivoire dans toute sa diversité, l’heure du dialogue que nous a léguée le père de la nation, Feu Félix Houphouët BOIGNY est arrivée.
    Saisissons- nous les mains tendues, rendons grâce à ceux qui sont tombés aux champs de lutte, pensons nos plaies, engageons les discutions, les yeux dans les yeux, prénoms le temps nécessaire qu’il faudra car notre salut ne viendra pas de l’extérieur.
    Débarrassons nous de ces sorciers le plus souvent, à la solde des mains obscures pour que vive en paix et dans la cohésion sociale, notre peuple, celui de la Côte d’Ivoire.

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